Savage Mind In A Wild World

Une pendule produisait un tic tac régulier quelque part dans la pièce. Un courant d'air s'extirpait avec peine par l'interstice entre la porte et le mur, se mêlant à la respiration lente des jeunes filles de Serpentard. Dans le noir, une silhouette mince se tournait et se retournait dans son sommeil. Une couverture était retirée, puis remise jusqu'aux épaules, puis à nouveau écartée. Le courant d'air lui glaçait les jambes et la couverture la faisait mourir de chaud. Impossible de trouver le sommeil dans ces conditions. Lyra se débarrassa définitivement de ses couvertures et ouvrit les rideaux verts de son baldaquin. Un coup d'œil en direction de ses camarades lui suffit pour voir qu'elles étaient encore profondément endormies. Perdues, enlacées dans les bras d'un songe qui se terminerait bientôt et qu'elles oublieraient tout aussi rapidement. Que de désillusions pouvions-nous nourrir lorsque nous dormions. Mais quelle importance. De toute manière, la jeune Serpentard était debout, et totalement incapable de rêver éveillée.

Ses yeux se posèrent alors sur ses vêtements. Elle se dit alors qu'un peu d'air lui ferait du bien, D'un geste vif et agile, afin de ne pas réveiller les autres, ses mains attrapèrent l'uniforme de Poudlard et elle l'enfila ensuite. Cet uniforme se constituait d'une mini jupe noire pour les demoiselles, d'un pantalon pour les messieurs. Au lieu de mettre la chemise blanche réglementaire de l'uniforme, Lyra opta pour un haut discret, afin qu'on ne la découvre pas dans le château à cette heure de la nuit. Un débardeur noir. Elle chaussa ses ballerines noires et ferma les yeux quelques secondes, concentrée. Ses cheveux, châtains, devinrent alors d'un noir d'ébène. Parfait pour qu'on ne la voit pas. Elle ouvrit la porte et sortit, attrapant sa baguette magique au passage.

D'un pas de loup, la Miss Bilnakie sortit de la Salle Commune des Serpentard en direction du Hall d'entrée. Les couloirs sombres, resserrés, n'étaient pas pour la rassurer. De temps à autres, sa claustrophobie prenait un malin plaisir à sortir de sa cachette pour lui jouer des tours. Ce n'était cependant pas le moment. Alors elle surmonta l'angoisse passagère qui la prenait et parcourut les cachots à grandes enjambées silencieuses pour atteindre le Hall d'entrée. Camouflée dans l'ombre de l'entrée des cachots, ses yeux parcoururent la salle, guettant le moindre mouvement, la moindre ombre suspecte. Ses oreilles étaient aux aguets du plus petit son. Un bruit de pas, une respiration. Mais rien, la Hall était désert. Lyra se dirigea vers la grande porte. Fermée. Le concierge avait dû penser que les élèves sortaient un peu trop souvent à son goût.

Forcée à rester à l'intérieur du château, la jeune femme opta pour un autre lieu qui lui permettrait de prendre l'air ; la Tour d'Astronomie. C'était le lieu idéal. Ses pas la menèrent alors à travers les couloirs, dans des passages secrets, derrière des statures ou des tapisseries pour se cacher au moindre son suspect. Il n’y eut pourtant aucun problème durant son trajet. A part un fantôme qui avait traversé le mur en face d’elle, il n’y avait rien eu. Elle arriva don sans encombre dans la plus haute tour du château.

Un faible grincement se fit entendre lorsque ses mains poussèrent la porte. Un air frais s’engouffra dans le couloir, faisant voleter les pans de sa jupe ainsi que ses cheveux devenus aussi sombre que le ciel qui se dessinait au-dessus de sa tête. La porte se referma derrière elle dans un claquement et elle se dirigea vers le muret qui séparait le sommet de la tour à une chute vertigineuse. La tour d’astronomie était réputée pour être la seule à n’avoir pas de toit, afin d’observer les astres à sa guise, ainsi que pour sa hauteur qui fait tourner l’œil de plus d’un élève possédant le vertige.

La jeune femme posa ses doigts fins sur la rambarde. Sa bague scintillait à la lueur de la Lune. D’un geste de la main, elle replaça une mèche de cheveux derrière son oreille et regarda le ciel qui s’étendait au-dessus de sa tête. Elle ne savait pas quelle heure il était. Elle avait cours demain. Mais elle s’en fichait. Au pire, elle serait simplement fatiguée. Et mieux valait rester éveillée au sommet de la Tour, qu’enfermée dans un cachot sombre, sous des draps trop chauds. Lyra na frissonna lorsque le vent souffla plus fort. Au même moment, des pas montaient les escaliers de la Tour. Cependant, la silhouette fine de la Serpentard resta impassible. L’esprit bien trop ailleurs pour se soucier d’un simple bruissement dans l’escalier…

Parfois,il y a des périodes qu'on aimerait évité ou voir passé relativement vite surtout quand on se rend compte qu'on ne peut pas changé celles ci. Voir un monde paisible, une certaines routine mais sans ce rendre compte de celle ci, voir toute une tranquilité devenir un enfer. Pensé au passé, aux belles années et à la protection d'une certaine personne qui vous apaise. C'était ce qu'était entrain de se dire le jeune Gabriel Valkovic, incapable de dormir, installé sur son lit dans son dortoir les mains derrières la tête. Par tranquilité passé, il entendait les années d'avant à poudlard, par l'enfer, ce que devenait poudlard depuis la nomination de rogue et par la certaines protection, c'était biensur de Dumbledore qu'il voulait parlé. Tous cela avait changé en l'espace d'un rien de temps ... La mort de celui ci voila quelques semaines, suivi par la nomination de Rogue et la transformation de l'atmosphère paisible en atmosphère irrespirable. Il repensa aux derniers jour qui venait de s'écoulé, des serpentard choyé, des gryffondors saqué les uns aprés les autres et ses nouveaux pions bizard qui trainé dans le chateau prés à s'en prendre à toutes les maisons sauf les verts. Non décidément, avec tous cela, le jeune Valkovic ne parvenait pas à trouvé le sommeil.

Lui même avait eux deux fois trois heures de colles pour "non respect des surveillants" ... En y repensant, cela avait plutot tendance à le faire sourire. Quoi qu'il en soit, aprés deux ou trois heures d'éssais, le constat était qu'une fois encore il n'arriverait pas à trouver le sommeil. Il se releva donc de son lit et alla se mettre un peu d'eau sur un visage qui était relativement chaud. Il se dirigea ensuite vers son dortoir une nouvelle fois ou, entre les ronflement, il prit quelques affaires et retourna vers la salle de bain. Il prit simplement une chemise bleu foncé, puis un jean, rien de rêglementaire mais pour allez faire un tour c'était bien suffisant. Et puis il savait que de toutes façon, tenu rêglementaire ou pas s'il était prit c'était le renvoi. Pas une grande perte pensa le jeune homme toujours dans son accés de colère intérieur. il eut un crêve coeur de ne pas porté sa veste gryffondor mais par les temps qui court, moins on affichait sa maison, mieux elle se portait et surtout mieux on se portait. Aprés un dernier regard en arrière et sans idée d'ou allez, il quitta le dortoir puis la salle commune pour se retrouvé dans les couloirs.

Une fois la, il ne savait pas vraiment ou est ce qu'il avait envi d'allez, l'idée de prendre l'air ou de prendre de l'alitude lui vint à l'idée ... La tour d'Astronomie, une fois la haut, il pourrait enfin être tranquil, avec ses idées et ses pensées peu réjouissante. Il parcouru avec discretion les couloirs du chateau, se faire repéré serait trés mauvais et même si quitté le chateau ne l'aurait pas déranger, il ne voulait pas abandonner sa maison ou lui attiré des problèmes. Il parcouru donc poudlard en profitant des coins d'ombres pour se dissimuler quelques peu. Une fois arrivée en bas de la tour, il monta il y avait désormais trés peu de chance qu'il se face attraper par qui que se soit. Il ouvrit la porte dans un grincement et et lorsqu'il entra remarqua qu'il y avait déjà quelqu'un, retenant son attetion que ne fit pas gaffe que la porte se refermait derrière dans un claquement qui avait du le faire repérer.

Il ésséya alors de reperer à qui il avait affaire mais il ne voyait pas grand chose la jeune fille était un petit peu plus loin dans la pénomnbre. Un vieux réflexe le fit sortir sa baguette puis il s'approcha doucement finissant par s'arrêté à quelques mètres de la personnes ou il s'exlama d'une voix peu assurée

Puis je savoir à qui j'ai affaire ?

Il marcha encore quelques centimètres et murmura

Lumos

La jeune femme qu'il découvra, à son grands désespoir, il l'avait déjà vu et pas n'importe ou, à la table de ses chers bon vieux serpentards, ce qui provoqua chez le jeune homme une expression de dédain, la baguette toujours levé pour resté éclairé, il tourna la tête et murmura

Et ba me voila bien, il manquait plus que ça, que même la nuit je les croises cela ...

Que la nuit était douce. Sa noirceur venait l'envelopper tout entière, sa froideur l'étreignant d'une vivacité sans nom. Seul le vent parvenait à lui murmurer ses secrets au creux de ses oreilles, effleurait sa peau et caressait ses cheveux. La Lune en faucille ne suffisait pas à éclairer le majestueux château et ses alentours. Les étoiles voilées derrière quelques nuages vagabonds scintillaient faiblement, semblant prêtes à s'éteindre sous la moindre brise. Pourtant ce n'était pas le cas. Lyra poussa un soupir. L'air de la nuit lui faisait le plus grand bien. Et le mieux ? C'était que personne ne viendrait la déranger à cette heure de la nuit. Ou presque personne. Ce fut une voix grave, sensuelle qui la détacha de son univers. Un sourire se dessina sur les lèvres de la jeune femme. Un sourire qui exprimait un réel amusement. Voilà quelque chose d'intéressant. Le jeune Gryffondor se tenait derrière elle. Il aurait pu partir en la voyant, il aurait pu faire comme s'il ne l'avait pas vue, car après tout elle était une Serpentarde.... Cependant, il avait jugé bon d'engager la conversation de ses habituels sarcasmes. Sans doute n'avait t-il pas eu l'occasion de voir son insigne.La vert et argent ne tourna pas la tête. Ses yeux restaient fixés sur un unique point, au loin, au-dessus de la cime des arbres. S'il n'était pas arrivé, probablement serait-elle restée toute la nuit à contempler un point invisible. Mais maintenant, elle n'était plus seule....Elle devait supporter une nouvelle venue...A son plus grand plaisir.

Lyra finit par se tourner lentement vers lui. Elle prenait son temps, comme pour lui signifier à quel point elle n'en avait que faire de ses remarques. Comme pour lui montrer quelle chance il avait qu'elle daigne lui répondre. Et son regard se posa sur la silhouette du beau brun. Les cheveux en bataille, une chemise ouverte sur un torse nu, un simple jean. Les lèvres de la demoiselle s'étirèrent un peu plus, son visage affichant toujours un peu plus d'ironie. Cette allure n'était-elle pas témoin d'une folle nuit ? Et celle-ci n'était pas encore terminée. La jeune femme y veillerait. D'un geste lent, presque sensuel, elle ramena sa chevelure d'ébène en arrière. Lorsqu'elle parla, sa voix ressemblait à un murmure. Elle se mêla à la brise, possédant la même froideur. Il n 'y avait que l'ironie qui s'y ajoutait. A son habitude, elle pris la peine de ne pas répondre aux question qu'on lui posait :

- " Tiens Tiens. De la compagnie...A une heure pareil...Laisse-moi deviner...Hum... Tu dois êtres à Gryffondor. Les lions parlent beaucoup, mais leurs actes ne sont souvent pas à la hauteur, il arrive même qu'il n'atteint pas la cheville...Fin...Tu ne m'étonnes pas plus que ce que tu l'espérais ! "

Une lueur de mépris et de provocation scintillait dans ses yeux. Le visage de Lyra aurait pu être celui des anges si elle n'avait pas été aussi mesquine et arrogante. Des joues de porcelaine, des yeux pur, des lèvres fines, pâles, et pourtant gourmandes. Un air naïf au premier abord. Puis on remarquait rapidement que tout cela n'était qu'illusion. Cependant, ce soir, autre chose apparaissait sur le visage de la demoiselle. La provocation n'était pas seulement haineuse. Elle était également séductrice. Oui, vous avez bien compris. La vert et argent aimait jouer le jeu de la séduction, tout en étant horriblement mesquine avec les garçons. Pour le simple fait de montrer de quoi elle était capable, mais également qu'il n'avait aucune chance...Lyra s'appuya à nouveau contre la rambarde,de dos cette fois, Le fixant de ses deux belle pupilles. Elle ajouta, toujours d'une voix horriblement douce, calme et posée :

"-Pourtant ce que je ne comprend pas ...c'est que l'un d'entre eux s'aventure à une heure pareil ici..Sa n'est pas dans vos habitudes...Vous êtes plus à roupiller comme de gros cochons !"

Tant qu'à provoquer, autant ne pas y aller dans la demi-mesure. L'air frais l'avait requinquée, elle se sentait parfaitement en forme pour une joute verbale. Elle ne put s'empêcher un petit sourire...A cet instant là,toute l’innocence et la malice du monde semblant y habiter, s’y côtoyer, alors qu’elles n’existent pas même pour elle. Comme une musique infinie que son rire démentiel... Elle est la poupée qui passe des larmes aux grands sourires et des sourires aux longs soupirs, et pourtant, peu de personne n'ont eu la satisfaction de voir la moindre perle glissait le long de son doux visage...A chaque moment, un masque de fierté était posé sur son visage, cachant toutes ses faiblesses...Pourtant au combien elle avait était sur le point de le briser...

Les serpentards et les gryffondors, toute une histoire ... Mais pourquoi tant de haine entre ses deux maisons ? Aprés tous leurs racunes datent de nombreuses années à cause d'une dispute entre Godric gryffondor et Salazard serpentard. Oui mais voila, les années ont passé et la situation atteint aujourd'hui son point de non-retour. Une sorte de guerre ouverte, sans merci et avec aucune gêne quelquonque entre les deux maisons. Comme une fierté de dire haut et fort qu'on deteste les autres plus qu'on s'aime entre gryffondor. Parfois il y a de quoi resté dubitatif devant ce phénomène mais aprés tout, quand il voyait des serpentars, il ne pouvait s'empêché de comprendre de nouveau pourquoi il les détestait tant et pourquoi entre eux et les gryffon, aucun compromis ne serait jamais possible, juste de l'anthipatie, encore et toujours ...

Avec ses pensées bien en tête, le jeune homme portait toujours son attention à la jeune fille qui enfin, au bout de quelques secondes daigna se tourné vers lui... Chose qui exaspera Gabriel dans un premier temps, levant les yeux au ciel l'air de dire qu'ils étaient tous les même puis en la regardant il fut forcer de remarquer que son visage était plutot magnifique, pensant intérieurement que c'était un gachis qu'elle se soit retrouvé à Serpentard. Les paroles et les gestes confirmaient à Gabriel tous ce qu'il pensait de ces gens la. Des gens imbus d'eux même, mais il avait toujours constaté quelques chose d'intérêssant, une différence entre les garçons et les filles de cette maison. Les garçons eux, jouaient toujours les grosse brutes avec un thon anthipatique, hautain et parlait plus qu'il n'agissait, en gros tout avec les muscles, dont ils ne se servaient d'ailleurs qu'a de rares occasions et rien avec la tête. Les filles, elle étaient plus malignes, de vrais petites pestes, mais avec un don remarquable pour embobiner les gens, ceci dit si elle comptait joué à ce jeu la ce soir, elle aurait fort à faire, le jeune homme s'y étant déjà laissé prendre et en gardant un souvenir cuisant.

Par ailleurs, il constata son regard se tourné avec un sourir qu'il aurait défini comme, mesquin, amusé vers son torse. Et quand il regarda à sont tour, il constata qu'il n'avait pas refermé les boutons de sa chemise ce qu'il fit sans laché des yeux la serpentarde. Les mots " ne jamais laché des yeux un serpent", résonnant fermement dans sa tête. Quand il la regarda, si il avait envi de partir, il ne lui ferait pas se plaisir, ce n'était pas le genre à se défiler. Et puis elle semblait enclin à joué alors autant joué, d'autant que la jeune femme aurait été dans n'importe quelle autre maison, il aurait retrouvé son appétit de séducteur mais la, le mot joué était le seul propice à la situation actuelle. Il rentra donc dans son jeu, affichant à son tour un petit regard amusé, il y avait parfois des danger à rentrer dans ses jeux la mais pas pour lui, la confiance en lui ne le quittait jamais. D'une voix amusé, il répondit alors à sa phrase

Hum ... Hum ... Hum ... Un vocabulaire trés recherché, un ton au dessus de tout, une sureté en soit et une nonchalance comme ça, c'est clair que pas de doute serpent était ta vocation ... Esperé t'étonné ? laisse moi rire, non j'espérait un peu de tranquilité mais apparement je suis pas tombé au bon endroit, je savais pas que les serpy étaient somnanbule au point de quitté leurs trés chères cachots ...

Avant et pendant sa réponse, il apperçut par moment du mépris dans ses yeux mais lui il restait impassible, toujours ce même regards amusé sur le coin de la bouche. Mais ce n'était pas tous ce qu'il put y voir, il y vit également autres chose comme une forme de provocation mais légèrement différente de celle de la haine et l'espace d'un instant il ne put s'empêché de détourné le regards. Etonné par cela, peu habitué à ne pas réussir à soutenir un regard, il fit mine de prendre un air nonchalant et désabusé par la situation avant d'une nouvelle fois porté son regard vers elle. Ce fut à ce moment qu'elle repartit à l'attaque, toujours avec cette air sarcastique, qui, il fallait le reconnaitre, lui allait plutot bien. Mais une nouvelle fois, l'impassibilité et le peu d'égard avec un sourir nonchalant furent sa défense et ses paroles ne furent pas plus élevé que les précédentes.

Et moi je le répètes, que tu es quitté tes cachots est un exploits ... Non franchement je suis admiratif qu'une serpy soit parvenu à se repéré la nuit pour se réfugié en hauteur. Bien que l'alltitude n'ai jamais été quelque chose que vous aprécié... Sous terre, en dessous de tout, moi je trouves que ça vous va bien mieux. Vous êtes à votre place la-bas ... Et puis tu as raisons j'aime roupiller comme tu dis, parce que quand tu dors tu rêves et quand je rêves, vous n'existez pas ...

Il resentait toujours de la fierté et du mépris quand il la regardait, se demandant ce que serait devenu cette fille au visage angélique sans avoir été à serpy... Il hésita un moment à rebrousser chemin aprés sa phrase, mais aprés tout il n'était pas fatigué et quitte à joué la provoque, autant restait la, il poussa donc un peu plus les choses en s'approchant de la ballustrade vers laquelle elle était ou l'air de rien, il s'appuya dessus à un peu moins d'un mètres d'elle, l'air de dire " ah ba t'es la ? tant mieux pour toi". Et jeta un coups d'oeil au ciel avant de reprendre une nouvelle fois la parole.

Tiens j'ai une question existentiel ... Dans votre salle commune les cours de mépris et de sarcasme sont enseignés n'est ce pas ? Non je disais ça parce qu'en dehors de ça, vous êtes plutot restreint côté performance ...

Il fit un nouveau sourir mais plus intérieur qu'autres chose, ne la regardant pas cette fois. D'ordianire, il n'était pas méchant, même avec les serpentards, eux ils les ignorait, mais ces derniers temps sa colère était vraiment monté à cause de ce qui se passait au chateau et cette fille était en quelque sorte entrain de prendre tout pour elle même si d'un certain côté, le côté mystérieux et séductrice de la jeune femmme l'amusait et d'une certaine manière l'attirait ... Une situation amusante pour joué un peu avec elle comme elle tentait de le faire avec lui.

N’utilise pas ses mots qui me sont vagues. Ne m’observe pas, mon regard te brûlera...

Yeux lumineux, farouches. Lèvres retroussées, prêt à morde. Mais toujours ce petit sourire amusé, évoquant la hyène qui se moque, avec une gracieuseté qui ne lui est pas attribué. La Serpentarde l'observait sans rien dire, à vrai dire, elle ne l'écoutait même pas ce jeune homme...Des sons parmi tant d’autres...Monsieur disait ce qu'il pensait . Un sourire étrange se dessina lentement sur ses lèvres rouge sang. Un sourire cruellement effrayant; reflétant quelque peu l'excitation qui s'émane en elle. Mais, tout se passe réellement dans ses yeux. Ses yeux sombres, ses yeux si expressifs. Toute l'euphorie présente dans son corps semble s'être finalement répartie au cœur même de ses pupilles . Le jeune homme commençait à en dire un peu trop. Il aimait le risque...A son plus grand plaisir la Vert argent adorait à ce trouvait devant ce genre de petite forte tête...Elle appréciait les remettre à leurs places. La palpitation saccadée du sang dans les veines. Les tempes prêtes à exploser sous ces assauts répétés de tension. Les yeux calculateur. Elle suivait le moindre de ses gestes.

Le jeu se promettait d'être des plus intéressant, étrangement ce petit bonhomme lui rappelait quelqu'un...de vague souvenir...Certains aimaient rêvasser, penser à des évènements passés, s'y replonger comme s'ils pouvaient tout revivre, exactement comme cela s'était produit. Elle-même appréciait l'illusion que procurait les souvenirs anciens, jusqu'à peu. Ces dernières semaines, sa mémoire s'était mise à la déchirer de l'intérieur, à exposer des blessures qu'elle aurait préféré enterrer pour toujours. Elle se retrouvait confronté à ses démons à chaque instant, chaque seconde où elle ne s'occupait pas suffisamment. Ne pas rester sur place, bouger, courir pour s'éloigner de l'enfer qui la poursuivait. Les souvenirs étaient un mal qui la rongeait, et elle ne savait pas encore comment s'en défaire. Sombrer dans l'inconscience était tentant, mais ils revenaient dans ses cauchemars, de sorte à ce qu'elle ne puisse définitivement pas s'échapper. Suffoquer à cause des images qui défilaient devant ses yeux, sournoises. C'était le prix à payer pour tout ce qu'elle n'avait pas su faire, et généralement, elle l'acceptait. Parfois cependant, elle était au bord de l'explosion, et son masque impassible vacillait légèrement.

Monsieur referma alors sa chemise sous les yeux de la jeune femme, qui s'avança lentement vers lui. Celui ci était déboutonné à son plus grand amusement. Lyra ne se refusa pas la peine de rouvrir les boutons d'un geste lent et calme , pour ensuite les refermer, cette fois convenablement. Un jeu, elle prenait toujours là situation pour un jeu. Son doux parfum effleura les narines du jeune homme, le clouant sur place. Un charme surpuissant, une élégance envoûtante, des traits d’une beauté innommable...Voilà en général son arme la plus puissante, voilà à quoi on pouvait se perdre lorsque Lyra se trouvait à moins d'un mètre de vous. Sa main remonta jusqu'au creux du cou du gryffondor où elle s'arrêta. Elle finit par se pencher vers lui doucement, comme si elle voulait l'embrasser, mais au dernier moment elle dévia de sa trajectoire pour venir lui souffler quelques mots à l'oreille :

"- Tu es de ces trésors que l'on ne peut convoiter qu'avec les yeux... Seulement fait attention que tes paroles amers te trahissent...."

Elle recula, se dégageant lentement, retournant d'où elle était venu. La Serpentarde se mit de dos, sentant le regard du jeune homme dans son dos. Elle venait de le déstabilisé, sans même avoir eu recourt à sa baguette magique. Les hommes étaient tous les même, sensible au moindre visage d'ange qui les frôlait, mais celui ci pensait-il au fantasme les plus fous ? Pensait- il un jour retrouver Lyra dans ses bras, la percement de mille paroles aussi douce les unes que les autres, aussi promettantes....La jeune femme ne pouvait répondre à cette question sur le moment, à cet instant là, elle savait juste qu'elle l'attirait...Une beauté dangereuse voilà de quoi les filles la caractériser à Poudlard...Pourtant elle n'était pas loin de la vérité...Elles en étaient même très proches ! Les secrets. Qui donc n'en possédait pas ? La majeure partie des élèves cachaient bon nombre de choses à leurs condisciples. Que ce soit en rapport avec leur passé, leur présent. Ou même l'avenir. N'y avait-il pas des gens qui apercevaient le futur ? Rien que cette information avait de quoi faire l'objet de cachotteries. En tout cas, tout le monde cachait quelque chose, c'était irrémédiable. Même la plus sincère des personnes. Lyra, avait le siens...

Elle s'apprêtait donc à prendre la parole, mais elle ne put sortir quelques sons de sa bouche. Un mal de tête venait de la prendre subitement. Elle fut sur le point de s'effondrer brusquement, ces petites faiblesses dut aux souvenirs...au triste passé n'avait pas eu l'occasion de surgir depuis voilà maintenant quelques mois. La jeune femme se rattrapa de justesse au mur, froid, glacial...Ses pensées défilaient au fur et à mesure de sa lecture, songes qui le menaient plus loin qu’elle n’aurait pu le présager..Les visages défilaient à grande vitesse, ne lui laissant aucune possibilité de reprendre son souffle. Ces pensées la menaient vers le visage maternel qu’elle connait depuis son enfance, d’autres sur cette photo censée illustrer le bonheur de sa mère en compagnie de son géniteur, le jour de leur mariage… Lyra avait du mal à croire que ce dernier ait pu abandonner sa famille, et surtout, qu’il puisse être son père, mais les traits ne trompaient pas...La douleur, celle ci ne lui échapper pas, elle émaner tout son corps, la rendant des plus pâles...Elle était si déstabilisée qu'elle fut sur le point de basculer dans le vide sans pouvoir y faire grand chose...

"- Assez...Bon sang...sa suffit....Pas maintenant !"

Il est de ses situations ou parfois on perd le contrôle et l'on ne sait pas vraiment pourquoi, d'un seul coups le sol se dérobe sous nos pieds sans que l'on y puisse rien y faire. Une parole, un geste, un évènements ou encore une rencontre et tous ce qu'on avait construit nous échappe. Mais c'était aussi le genre de situation qui n'arrivait jamais à Gabriel, sur de son fait, toujours prêt à anticipé n'importe quelle situation. Aujourd'hui, encore une fois pour le moment, il avait le contrôle de lui même et n'était pas prés de le laché. Oui il la trouvait attirante, toujours attiré par ce qu'il ne pouvait avoir mais le mot serpentard résonnait dans sa tête comme un alarme et pour le moment il restait tous simplement dans le jeu, sans trop se dévoilé, amusé et agacé en même temps par la situation. Mais il le savait en son fort intérieur, la situation acquise pouvait se déquanté et la suite des évènements le prouverait surement encore une fois. Jeune homme plein d'humour et beau garçon ayant enchainé les conquêtes, voir Lyra lui fait plutot repensé à sa plus mauvaise experience affective. Une douleur qui lui a fait détesté plus que tout les serpentard ... En plus de payé pour les temps dernier, Gabriel ne pouvait s'empêché de ressentir de la colère envers Lyra repensant à cette fille ... Pourtant pas elle mais désormais pour lui, toutes les serpentardes était les même ...

Il détourna le regard quelques instants de la jeune femme et s'en alla à repensé au souvenir. Ce souvenir, un mercredi aprés-midi. Jeune, en début de deuxième année, il allait réalisé son rêve, joué pour la première fois un match de quidditch avec gryffondor contre serpentard. Oui mais voila deux mois plutot il avait cru au coups de foudre avec une serpentarde qui avait su le charmé. Deux mois pendant lesquels elle joua les petites copines parfaites et lui, insoucient comme il était foncé dans le mur sans même regardé devant. Ce jour la, la jeune femme profita du bonheur que recentait gabriel pour faire ce qu'elle voulait faire depuis le début, lui planté un couteau dans le dos. Elle avait préparé une boisson particulière qui avait le don d'endormir les gens ... Il était donc endormis dans un coin du chateau pendant que son équipe elle, était sur le térrain, un des plus mauvais souvenirs de Gabriel, il fallait l'avoué ... Pour la petite anecdote, lorsqu'il se reveilla, il fonça vers le térrain mais ce qu'il trouva le marqua pour un bon bout de temps ... Les serpentards faisaient la fête, les gryffondor le regardait d'un regard mauvais, le tableau d'affichage affichait un score de 150 points d'écard, et sa cher serpentarde était dans les bras d'un autres garçon ... Tout cela pour dire que le jeune homme est marqué par cette histoire et qu'au jeu du naif face à une jolie demoiselle, on ne l'y reprendra plus. Même si il sait en son fond intérieur qu'il a deux faiblesses, la première, son caractère trop joueur qi lui jout des tours, la deuxième, les femmes et en cette nuit les deux semblait être présent devant lui rendant la situation quelque peu délicate pour le jeune homme. Aprés de longue seconde ou il ses rendit compte qu'il était perdu dans ces pensées, les yeux vagues, il reporta son attention à la demoiselle en face de lui qui affichait toujours ce même petit sourir mesquin ... Non se soir il ne se ferait pas avoir ... Il avait déjà donné ...

Le temps était donc au souvenir pour les deux jeunes gens sans que l'un ou l'autre ne se doute de rien, chacun campant sur ses positions pour le moment. Toujours avec un sourire amusé, la jeune femme défit ses boutons devant un regard curieux du jeune homme qui la vit finalement les reboutonés convenablement. Dans la précipitation il avait en effet mal boutoné deux d'entres eux ... un peu déboussollé le jeune homme ? Peut être, mais il ne laissait rien filtré. Il n'en fut pas moins scotché lorsqu'elle s'approcha de lui et qu'il sentit le doux parfum de celle ci ... Ces vieux démons d'homme ne pouvant pas résisté au charme des femmes refaisait surface ... Mais ce n'était pas le moment, il était incorrigible de se côté la et d'ailleurs avait connu pas mal de problème à cause de ça, il fallait dire qu'en amitié c'était un ami formidable toujours la et droit mais en amour, l'infidélité avait souvent dans le passé était de mise. Sa main dans le coups le fit frissoné puis il craigna le pire lorsqu'elle se pencha vers lui pour finalement murmuré quelque chose qu'il entendit comme un bruit de fond. Heuresement aprés cela, elle s'écarta de lui, lui qui ne disait rien mais qui profita de ce moment la pour se retourné, inspiré profondément et se reprendre. Lorsqu'il se retourna une nouvelle fois, elle était de dos et il en profita encore une fois, son seul remède aujorudh'ui pour ne pas sombre, pourquoi et à quel point il detestait ces gens la et fort heuresement, cela requinqua son envi de la méprisé ... sans se rendre compte qu'a ce moment justement c'était une envi de mépris et non plus du mépris, dépassé sans même s'en rendre compte.

Ce fut à ce moment, que l'évènement énnoncé un peu plus tôt arriva, ... La jeune femme sembla se sentir mal comme si un mal de tête la prenait et que le tournit la gagnait mais il ne voulait pas se faire avoir. A première vu il avait affaire à une manipulatrice, une jeune femme qui se servait de ses charmes un peu comme une plante carnivor si belle qu'on s'y pose dedans avec joix juste avant qu'elle ne se referme sur vous et vous avale sans le moindre regret. Il se contenta donc dans un premier d'affiché un sourir mesquin et de lui lancé d'une voix mieleusement fausse

Oh ... Tu vas me faire pleuré ... Tu sais que ce genre de chose ne marche pas avec moi ... Comme si toute la misère du monde se trouvait sur tes épaules, vous les serpentard n'avait aucune notion de la douleur ... trop pourri-gaté pour pouvoir la connaitre ...

Ces mots étaient dur mais c'était plus le côté colérique et rancunnier du jeune homme qui était apparu le premier. Cependant cet aspect n'était pas le plus présent chez le jeune homme, étant quelqu'un qui ne supportait pas voir les autres souffrir, même ses amis ... La mesquinerie se transforma légèrement en inquiétude lorsqu'il vit que cela enpira et son coeur fit un bon en même temps que son jambe pour la rattrapé lorsque celle ci fut à deux doights de passé par dessus la rembarde. Dans le feu de l'action et dans la précipitation du à l'urgence de son sauvetage il tomba en arrière, la jeune femme attérrissant sur lui. Situation dont il ne fit pas attention, trop préoccupé par ce qui avait failli se produire ... Il l'aida à se relevé, conscient qu'un peu plus et il aurait laissé quelqu'un tombé, un côté de lui qu'il détestait ... Mais fort heuresement, il avait su se reprendre au bon moment et d'une voix peu assuré lorsque se releva debout il lui demanda, sans doute d'une voix plus douce que quelques instants auparavant

Est ce que ... Ca va ... ?

L'euphorie s'en était allée, mais elle revenait aussi vite qu'elle était partie. Excitée, le sentiment d'affrontement se propageant dans son corps. Elle lutait comme elle pouvait ,essayant d'affronter ses horribles pensées qui la faisaient tant souffrir. Les images ne cessaient de défiler à une vitesse folle. Elle ne pourrait pas tenir à cet allure...Cette attaque était plus sévère que les précédents. Le vertige l'envahit alors, sa vision se distorsionna, jamais elle ne s'était sentis aussi mal. Des paroles s'ajoutèrent au chaos, la laissant là, impossible pour elle de résister

« Ne me laisse pas… Tu sais que je ne peux pas… S’il te plait… Lyra !!! Je t'aime Lyra ....Lyra pourquoi ?!!! POURQUOI ! »

«- Assez ! Assez ! » hurla t-elle...

Une supplique qu’il lui faisait mal d’entendre, d’écouter… Et pourtant, elle ne cédait pas, elle tenait le mur, essayant de ne pas s'écouler. C’était son combat intérieur et elle n’avait pas le droit d’en être l’arbitre. Elle n’aspirait qu’à son calme, sa paix intérieure, qu’elle s’endorme et ne pense plus… Qu'elle oublie, qu'elle abandonne....Elle faillit sur le point de s'évanouir lorsqu'elle sentit quelqu'un près d'elle. Serait-ce le Gryffondor, celui qui n'avait cesser de lui en vouloir alors qu'elle ne le connaissait même pas...Celui qui une fois être rentrée dans la tour n'a cesser de lui daigner une haine....Oui c'était bien lui.Lyra arrivait à le distinguer avec mal...Mais elle arrivait à voir son visage . La Vert argent avait ses yeux rivés sur le regard du jeune homme. Bien que ses yeux étaient bien plus brillant que d'ordinaire, elle ne pleurerait pas. Cela faisait longtemps qu'elle ne pleurait plus. Et si une larme pouvait parfois s'échapper, qu'elle soit de rire ou de colère, elle ne fondait jamais en sanglots. Il n'y avait que les faibles qui pleuraient. Mais était-elle plus forte qu'un autre ? Pouvait-elle vraiment prendre sur elle au point de ne même plus pouvoir laisser couler ses larmes librement ? En tout cas, par le moment, ça avait toujours été le cas. La tristesse ? Bien sûr qu'elle connaissait. Lorsqu'on ressent un sentiment tel que celui-ci, on se sent faible, on se sent seul. Et Lyra préférait la remplacer par la colère ou l'ignorance. Ignorer l'objet de notre souffrance était tellement plus simple. Et lorsque cela ne suffisait plus. Lorsqu'il finissait par nous rattraper, on s'énervait contre lui....

Lentement elle se retrouva au sol. Elle était sur lui...Inconsciente, les yeux clos de fatigue...Sa tête d'ange posait sur son torse. Elle ne voyait plus rien tout était noir. Elle ne pouvait pas voir le Gryffondor la redresser doucement avec inquiétude....Commencer t-il à s'attacher à elle ? Elle s'était d'ailleurs souvent demandé ce que les garçon lui trouvait de si exceptionnel par rapport aux autres. Elle se savait odieuse, elle se savait mesquine. Et elle se savait avant tout croqueuse d'hommes, comme beaucoup s'amusaient à le dire. Il faut croire qu'à chaque fois elle leur briser le cœur en les rejetant. Elle aimait s'amuser, mais jamais elle n 'avait vraiment aimé...Ses 'histoire étaient des plus banales, tout le monde s'offrait à elle , mais sa ne durait jamais longtemps...Elle ne savait pas garder quelqu'un...

« Ferme les yeux Lyra Parle moi, jusqu’à ce que Morphée vienne t’étreindre dans ses bras…Mais ne succombe pas à cette chaleur qui t’ envahi…Je te laisse qu'une dernière chance, rien qu'une dernière...Si tu échoue, je t'emporterai avec moi...Change Lyra, change...»

Alors vous pouvez me dire à quoi ça servait ? L'amour. Un bien grand mot. Une belle idée en théorie. Beaucoup de souffrances dans la réalité. Celles qui rêvaient encore à leur prince charmant n'étaient que des petites idiotes. Certains pourraient penser que Lyra , au contraire de ces jeunes filles, n'était pas assez rêveuse. Qu'à 15 ans, on devrait être empli d'espoir, d'idées, de projets et de rêves. Mais si l'on ne rêve pas, si l'on ne se projette pas dans l'avenir, il y a bien moins de chances d'en être déçue. C'était en tout cas ce qu'elle pensait...Pourtant, il fallait qu'elle change...La Serpentarde se réveilla brusquement. Cette voix, on aurait dit celle du diable...Etait-il sur le point de l'emmener....De l'emprisonner à jamais en enfer, lui faire regretter tout ses cœurs brisés ? La jeune femme finit par émerger de l'inconscience...Elle refit surface, retrouvant la douce ambiance d'été qui demeurer dans la tour, les étoiles, et...Le Gryffondor...

Elle fut surprise de voir son visage si près du sien... Certes, c'était lui qui l'avait attirée dans cette position, lui qui était resté debout la détestant, mais jamais elle ne s'était imaginée dans cette situation.Elle resta silencieuse dans ses bras, lisant l'inquiétude dans ses yeux. A cet instant, elle sourit. Un sourire différent des autres, on ne distinguer aucune touche d'ironie dans celui ci, non, rien que de la sincérité. Les minutes s'écoulèrent..Pourtant… Pourtant déjà sa présence le brûlait, l’incitait à ne pas le quitter. Elle était bien ainsi, elle ignorait maintenant la suite...Mais elle espérait juste qu'il ne bougerait pas.

« Est ce que ... Ca va ... ? »

- Penses tu vraiment que j'en vaut la peine pour que tu t'inquiètes pour moi ? Le crois tu vraiment ?

La réponse du jeune homme déterminerait beaucoup de choses....Se serai peut être son commencement...Lyra sourit une nouvelle fois, attendant sa réponse.

A ce jeu la, on ne l'y reprendra plus ...

C'était un moment assez bizard, lui qui avait tout fait pour la detester, pour lui en vouloir et lui faire sentir tout ça n'était plus vraiment dans le même état d'esprit maintenant. Il fallait avoué que pour la première fois de sa vie, il c'était produit quelque chose qu'il n'aurait jamais crut possible tant rien que d'y pensé, il se demandait encore comment cela avait pu se produire. Lui s'y fier de ses couleurs rouge et or, toujours premiers à défendre les jeunes premières années contre une bande de serpentard, lui qui ne supportait plus ces individus désormais et bien ce jeune homme la vennait de s'inquiété pour la jeune fille à ses côtés ... Pendant un moment, il avait oublier tout idée de haine, de mépris et n'avait plus pensé qu'à son état dans l'espoir que cela ne s'aggrave pas. Il pensa à son coeur qui avait fait un bon dans sa poitrine lorsqu'il avait vu vacillé la jeune femme à deux doights de tombé par dessus la ballustrade. Mais cela avait une raison, pour la première fois depuis qu'il était arrivé, il avai vu la jeune fille comme étant quelqu'un de vulnérable qui possédait aussi ses faiblesses et non plus comme une simple personne méprisante. Et son anpathie naturel avait pris le dessus ... D'aprés ce qu'il avait vu c'était une sorte de cauchemar eveillé qu'avait vécu la jeune femme et lorsqu'il l'avait entendu hurlé "assez, assez", il c'était crispé n'aimant pas voir les gens ressentir de la tristesse ou de la peur. La voir aussi vulnérable avait définitivement changé la vision du jeune homme sur elle même si la suite ne serait pas forcément plus glorieuse ...

Curieusement, lorsqu'ils se retrouvèrent à terre tous les deux, il n'eut pas immédiatement l'envi de bouger, il ne savait pas comment l'expliqué mais un certains côté de la jeune fille l'attiré. Etait-ce la loi du dicton "les opposés s'attirent" ? La détresse de la jeune femme lors de la scène précédente l'avait elle touché ? Son visage l'avait il fait craqué ? Ou encore était- il entrain de tomber dans le panneau face à une quelquonque stratégie de la jeune femme ? Il ne pensait pas vraiment que ce soit la dernière solution mais il se devait de rester vigilent et de toute façon il savait qu'éprouvé toutes sortent de sentiments pour cette jeune femme était impossible. Il c'était déjà trompé une fois, il ne se tromperait pas deux même s'il avait toujours pensé que cette histoire était une punition vis à vis de ses infidélités. Mais pensait il vraiment à cette histoire à ce moment ? Non, en tous cas plus maintenant, il avait simplement une personne vulnérable avec lui, il était persuadé que la scène précédente, celle la, elle ne l'avait pas joué à l'inverse du début de leurs conversation. Pourquoi n'arrivait il plus à la detesté, il se sentait bien avec elle dans ses bras, c'était mal il le savait mais c'était probablement la dernière fois qu'il serait aussi proche l'un de l'autre. Le lendemain, il repenserait à cet instant et peut être qu'il regrêtterais certaines chose mais en tout cas, il se serait protéger de tout ce qui pouvait lui arrivé.

Leurs visages proche l'un de l'autre, il eut la tentation de l'embrassé l'espace d'une fraction de secondes mais il détourna le regard au moment ou elle répondit enfin à la question qu'il lui avait posé. Cependant ce n'était pas réèlement ce qu'il attendait puisqu'elle répondit à sa question par une autre question, curieuse celle ci aussi.

- Penses tu vraiment que j'en vaut la peine pour que tu t'inquiètes pour moi ? Le crois tu vraiment ?

Il resta silencieux quelques secondes aprés cette question ... Que devait il dire ? La vérité, qu'il c'était réèlement inquiété et que pour une raison qu'il ignorait encore, cette jeune fille l'avait touché ? Qu'il se sentait attiré par elle malgrés tout les côtés qui les opposés l'un à l'autre ? Il était songeur et ce n'était pas bon lorsque c'était comme ça. Il avait parfois tendance à faire n'importe quoi et dire n'importe quoi dans ces situations mais il avait prit sa décision... Mentir ... Lui qui ne mentait pratiquement jamais préférait cela à des illusions incertaines qu'il ne savait même pas pourquoi elle se présentait à lui. Tout d'abord, il fallait mettre un peu plus de distance entre les deux. Il s'écarta donc d'elle et se dirigea vers la ballustrade pour éviter son regard, ne surtout pas le croisé sous peine de se trahir, il s'appuya donc et regarda les étoiles avant de répondre, cherchant ses mots pour surtout faire ni méchants, ni attachés. En réalité il cherchait à banalisé son acte et ce qu'il avait fait pour en faire une généralité ... Le sourir qu'elle afficha, qui pour une fois sembla sincère n'arranga pas les affaires du jeune homme mais il savait ce qu'il avait affaire ...

Ce que je penses, c'est que ... Tout le monde vaut la peine qu'on s'inquiètes pour lui dans ce genre de situation .. Serpentard ou pas ... Ca va 5 minutes de faire la guèguèrre entre les deux maisons mais c'est pas une raison pour se regarder souffrir sans rien faire ... C'est pour ça que je penses normal le fait que je me sois inqu ... Que j'ai ressenti de la crainte lorsque tu as failli passé par la ballustrade. Je penses que n'importe qui aurait ressenti de la pannique dans cette situation.

Il avait dit sa d'une voix douce, le plus sincère possible, enfin aussi sincère qu'il pouvat l'être dans pareil situation. Il ne lui demanderait pas ce qui c'était passé dans sa tête même s'il avait envi de le savoir. Il ne lui montrerait pas son attachement soudain ... même s'il avait envi de le lui montré. Il quittera la salle comme si de rien était ... Même si pour lui ce n'était pas comme si de rien était. C'était ainsi, le faussé qu'il les séparé, même dans la douleurs ne pourrait jamais se referma, et de ça, il s'en persuadé. Il dégna quand même enfin se tourné vers elle et lui aussi souria, un sourir tout autant sincère que celui qu'elle avait fait, et ses beaux yeux n'exprimait plus ni haine, ni colère juste ... Ce qu'il voulait être de la sympathie et il prit une dernière fois la parole ne la laissant pas répondre pour le moment.

Tu dois te sentir fatigué, c'est normal... Si tu veux que j'ailles te conduire à l'infirmerie ou te piqué un truc las-bas ...

Cette dernière allusion n'était pas une blague malgrés ce qu'on aurait pu pensé, il avait plus d'une fois été piqué des trucs comme du chocolat avec des amis labas ou divers potion pour faire des experiences. C'est vrai c'était il y a deux ans mais bon si elle vait besoin de quelque chose, il irait cherché.

Une froid vint alors à parcourir la Serpentarde. La jeune femme ne s'était jamais retrouvé dans une situation semblable. Le Gryffondor se releva alors, la laissant, assise sur le sol froid, silencieuse. Il était arrivé ce qu'elle redoutait. Il était partit. Elle n'était plus dans ses bras, son visage si près du siens. Elle n'aurait pas même imaginer un tel tableau même dans ses rêves...A présent elle se retrouver de nouveau seule. La Serpentarde le regarda se relever et s'éloigner d'elle, le plus loin possible...Elle comprit qu'il voulait l'éviter...Il n'avait aucune envie de croiser son regard...Mais pourquoi ? Etait- elle aussi repoussante ,elle faisait fuir toute le monde à son plus grand malheur ?

«- Ce que je penses, c'est que ... Tout le monde vaut la peine qu'on s'inquiète pour lui dans ce genre de situation .. Serpentard ou pas ... Ça va 5 minutes de faire la guèguèrre entre les deux maisons mais c'est pas une raison pour se regarder souffrir sans rien faire ... C'est pour ça que je penses normal le fait que je me sois inqu ... Que j'ai ressenti de la crainte lorsque tu as failli passé par la balustrade. Je penses que n'importe qui aurait ressenti de la panique dans cette situation. »

A sa réponse Lyra ressentis un gros point sur le cœur. Elle s'attendait à une réponse de ce genre, il s'en fichait bien d'elle. Elle même ne pourrait pas se révéler aussi cruel. Il n'avait fait ça qu' afin d'apparaitre en tant qu' héros aux yeux de ses compagnons . Il ressortirait alors pour se venter" Eh les gars ! J'ai sauver une Serpentarde !" Pourtant... elle ne lui en voudrait pas. Elle détourna son regard, et le posa sur le ciel illuminait par des milliers d'étoiles...Elle eu alors l’impression de glisser ainsi, dans les confins de l’infini, éberlué par cette cruauté dont elle était le bien pauvre objet...Juger sans connaitre...Elle était à Serpentard elle n'y faisait donc pas exception. Elle n'aura donc jamais le temps de faire ses preuves, révélés ses qualités...On ne lui permettrait pas même le moindre souffle.

La Vert argent ne répondit rien... Elle afficha un nouveau sourire, un sourire des plus tristes qui arriver à vous faire serrer le cœur Ainsi, les choses seraient beaucoup plus simples, pour lui comme pour elle. Pourtant, était-ce vraiment ce qu'elle désirait ? Au fond, elle savait bien qu'elle...Non ! Elle espérait bien qu'il ne lui en voudrait pas, car elle s'était attachée après tout. Rien en cet instant, n'avait plus d'importance... La Serpentarde soupira...Ses jambes lui faisaient affreusement mal, cependant elle rampa jusqu'au mur pour se relever sous les yeux du jeune homme, se demanda ce qu'il devait faire.

«-Tu dois te sentir fatigué, c'est normal... Si tu veux que j'aille te conduire à l'infirmerie ou te piqué un truc las-bas ... »

Elle ne lui laissa pas en dire plus, elle lui répondit aussitôt, d'une voix calme.

- Non. Tu en assez fait. Merci...Sa ira.

Une fois debout, elle avança lentement vers le bord de la tour, sous le poids de ses jambes qui lui faisaient horriblement mal et doucement elle s'assit. Les pieds dans le vide... On aurait cru pendant un instant qu'elle allait perdre l'équilibre pour faire une chute de plus d'une centaine de mètre. Pour Lyra peut lui importer. Les dernières paroles qu'elle avait perçus avant de rouvrir les yeux, refaisaient surface, laissant la jeune femme les affronter, perplexe. Qui sait si elle avait bien ouvert les yeux, si son chemin serai moins froid que l'ambiance qui régnait dans la tour.

« Ferme les yeux Lyra Parle moi, jusqu’à ce que Morphée vienne t’étreindre dans ses bras…Mais ne succombe pas à cette chaleur qui t’ envahi…Je te laisse qu'une dernière chance, rien qu'une dernière...Si tu échoue, je t'emporterai avec moi...Change Lyra, change...»

Elle scruta les étoiles. Elle resta là sans rien dire. Elle ne regardait pas le jeune homme pourtant, elle sentait qu'il la regardait...Mais maintenant , il n'y avait pas d'importance...Elle réfléchissait à ce qu'elle pourrait bien faire plus tard...Son apparence était des plus triste, Lyra troquait une vexation contre une autre. Elle ne savais ce qui la blessait le plus, entre l’indifférence dont il semblais faire preuve, qu'il cherchait à faire dominer, ou cette manière qu'il avait de la présenter comme une autre, comme si il la connaissait déjà, ou plus, elle ne savait pas exactement. Ça se glissait en elle, fourbes serpents, enserrait son esprit qui se fixait sur ces seuls mots, ne laissait plus la place à rien d’autre. Alors elle releva la tête, qu'elle avait laissé glisser de côté,appuyant son profil contre le mur glacial. Elle soupira de nouveau, ne retourna pas même sa temps, ne l'entendant pas venir derrière elle.

Désormais une athmosphère des plus pesante reignait dans la salle, aprés ce qu'il c'était passé, aucun des deux n'osait réèllement parlé, ils était tout les deux la aprés ça phrase qui disait qu'elle n'avait besoin de rien, il regardait tous les deux en direction des étoiles mais sans osé réèllement se regarder. Si l'on faisait un poin sur la situation, c'était normal, aucun des deux n'avait prévu cette situation, à aucun moment même au début quand il était entré et l'avait trouvé la. C'était vraiment bizard et pensant et le jeune homme n'aimait pas vraiment ce grenre de phénomène ou un froid s'installe entre deux personnes. Cependant dans un premier temps, il ne broncha pas, le regard fixe vers les étoiles il faisait un choix. Se rapproché ou s'éloigné de cette jeune fille, son envi et son attirance lui disait la première solution, cependant son instinc et sa raison lui indiquait la seconde. Il commenca alors à se dire qu'il valait mieux passé pour un salo que pour un con au risque de passé à côté de quelques chose mais de toutes façon ce quelque chose ne pouvait existé entre une fille de serpentard fier, comme tous, de son sang pur et Gabriel qui lui était un sang mêlé de gryffondor. Le jeune homme sur de lui, de son fait et de son dégout des serpentard s'apprétait donc à faire son retour malgrés ce qu'il pensait, différent de ce qu'il faisait, au fond de lui.

La jeune femme semblait toujours un peu fébrile lorsqu'il sortit de sa réfléxion pour tourner son regard vers elle. Tant mieux, cela rendrait les choses plus facile, ses nerfs lacherait beaucoups plus facilement même s'il eut une impréssion de culpabilité avant même de passé à l'acte. Tant qu'à être salaud autant l'être jusqu'au bout aprés tout alors il s'éloigna de la ballustrade et la regarda, cette fois toute gentillesse, compassion ou autre sentiment réservé d'habitude à ses mais ou aux autres maisons n'apparaissait sur son visage, c'était plutot le même sourir mesquin qu'au début ... Il avait définitivement fait volte-face sur ses désirs. Il prit une voix qu'il voulait glaciale, se méttant dans un coin de la pièce d'ou elle ne pouvait désormais plus croisé son regard, précaution jugé utile par le jeune homme en cette circonstance.

Bon désormais si tu as finis de joué les malades tu pourrais ... Disons retourné dans ton cachot avec tout tes serpentin. Je penses que c'est l'altitude qui t'as joué un tour la, tu dois pas vraiment être habitué à sortir de ton trou perdu en bas. Je penses à ta santé et je m'inquiètes pour toi comme tu le vois ... Ne me remerci pas, c'est pas la peine

Il fit un ricanement, dans cette situation, on aurait pu pensé que cétait Gabriel la personne mauvaise, le mauvais ? Il savait le faire surtout dans de pareil situation et l'ambiance du chateau lui monté de toute façon à la tête, il n'avait pas besoin de faire semblant pour paraitre crédible, ça venait tous seul à présent. Il continua sur sa lancée, il ne fallait pas s'arrêté maintenant car s'il s'arrêté il avait peur de ne pas parvenir à recommencé. Le but étant qu'elle mette elle même fin à leurs communication, pensant que c'était un salaud et ainsi qu'elle l'évite par la suite dans les couloirs ou autres endroit du chateau, il voulait qu'elle garde un souvenir tellement mauvais de lui qu'il n'est plus à croisé son beau et doux visage envoutant dans le chateau. C'était ça son but et c'était pas vraiment compliqué d'y parvenir en se référant dans l'état de faiblesse dans lequel elle se trouvait acutellement. Il poursuivit donc ...

Et tant que t'y est fermes la porte quand tu pars la, tu sers déjà pas un grand chose tu peux servir à ça ...

Mimant un léger rire, il baissa la honte quelque peu honteux de lui mais étant dans le seul petit coin d'ombre complète de la salle, elle ne pouvait pas voir ses gestes ou ses regards, une chance pour lui d'ailleurs. Ce fut à ce moment la qu'il entendit un bruit suspect dans les escaliers lui faisant signe de se taire, sortant de l'ombre, plus de doute aprés un nouveau grincement, quelqu'un était entrain de monté. Il avait probablement entendut la jeune femme crié auparavant ou peut être qu'il faisait tous simplement du bruit en parlant, c'était moins sur. Quoi qu'il en soit, il réagissa du tac o tac, ne laissant même pas la serpentarde s'exprimé. Il l'attrapa et la mit dans le coin d'ombre dans lequel il était auparavant puis il se colla littéralement à elle, leurs tête se trouvant à quelques centimètres l'une de l'autres. Mais il n'y avait pas le choix, le coin d'ombre était tout petit, s'il bougé ne serait-ce de quelques centimètre il serait démasqué. Un homme entra alors, un des pions mesquins, celui qu'il detestait le plus d'ailleurs et la un vent de pannique le parcouru. S'il la jeune femme montrait sa présence, elle serait probablement félicité pour avoir dénoncé un gryffondor même si elle aussi était en tord et Gabriel se prendrait tous dans la tête. Il resta donc la dans le flou, esperant qu'elle ne le dénonce pas pendant que l'homme jetait un coups d'oeil dans la pièce... Aprés le mini sptich qu'il venait de faire, la tendance était réèllement au pécimisme quand à la réaction de la serpentarde ...

-Bon désormais si tu as finis de joué les malades tu pourrais ... Disons retourné dans ton cachot avec tout tes serpentin. Je penses que c'est l'altitude qui t'as joué un tour la, tu dois pas vraiment être habitué à sortir de ton trou perdu en bas. Je penses à ta santé et je m'inquiètes pour toi comme tu le vois ... Ne me remercie pas, c'est pas la peine....

Ces paroles...Toutes aussi sévères que celles des membres de sa maison...Pourquoi se révélait t-il tout d'un coup si..si..SALAUD !? N'ayant même pas l'envie de faire face à celui qui s'amusait à l'énerver, elle demeura toujours face aux étoiles. Un tapis de lumière d'étoile...Comment pouvait t-elle détourner ses pupilles de cet admirable paysage,pour fusiller du regard le jeune homme ? Seulement Lyra n'était pas bête et elle n'était pas que seulement belle. Malgré ce physique des plus intéressant qui attire, ne le nions pas, bon nombre de regards, Lyra reste une beauté des plus froide et des plus intelligente et rusée. Son regard acier en décourage plus d'un, et est généralement emplie soit de haine, de dédain ou d'un mépris pur et dur. Ses lèvres, lorsqu'ils ne sont pas retroussé en un charmant sourire à faire fondre le plus insensible des hommes, sont sèchement pincé, voir serrées comme si elle se retenait sans cesse de balancer ses 4 vérités. La jeune femme distinguer le mensonge, elle même maitresse en ce domaine, lui faire croire n'importe quoi pouvait se révéler très dangereux. Et là, s'était de fausses paroles qu'elle distinguer...Il n'était pas sincère, il lui mentait !

En général le mensonge était du à cacher des actions plus ou moins traitresses ou a essayer de berner la personne qui se tenait face à vous...Seulement là, Mademoiselle ne distinguer ni l'un ni l'autre. Qu'elle avantage pouvait-il trouvait en lui mentant de la sorte, en l'énervant de plus belle, à réchauffant le sang pur qui coulait dans ses veines ? En d'autre situations, Lyra se serai empresser de le faire taire, mais là, elle n'avait pas l'envie de bouger. Ses jambes lui faisaient encore très mal, de plus, elle venait à peine d'émerger d'une de ses crises, pourquoi prendre un risque. Bien qu'elle trouvait ce genre de réaction des plus hypocrites, elle parvint à demeurer calme et à afficher un sourire.

- Et tant que t'y est fermes la porte quand tu pars la, tu sers déjà pas un grand chose tu peux servir à ça ...

Là , il avait comme qui dirait la goutte d'eau qui faisait dépasser le vase. Les mains de Lyra se crispèrent, rageuse derrière son sourire. Elle se retourna et regarda le jeune homme pendant un instant...Elle voyait très bien en lui, elle savait qu'il n'était pas du genre aussi mauvais...Il le faisait exprès...Seulement exprès ou pas, là s'en était trop ! On ne lui parlait pas sur un ton aussi froid ! Elle l s'apprêta donc à descendre de son "perchoir", lorsque tout arriva très vite. Le Gryffondor se rua vers elle, non pas pour l'attaquer sans raison, mais pour l'amener dans un coin des plus sombres de la tour. Quelqu'un venait. En moins de quelques secondes, elle se trouva tapis dans l'ombre, si près du jeune homme. Elle voyait son visage près du sien..si près ! Lyra essaya de reculer, mais impossible ! Ils n'étaient plus seul...Elle le regarda se pincer les lèvres, envahit par la peur de se faire découvrir. Lyra du poser sa tête sur son torse afin d'essayer de distinguer qui était l'inconnu .

Tiens, tiens, un des pions de son respectable Professeur des Potions...Lyra recula dans la direction du Gryffondor de peur de trahir sa présence. Bien entendu, elle fut de plus en plus proche de celui ci, maintenant, elle entendait sa respiration haletante près de son oreille. Lyra pouvait très bien deviner à quoi il pensait. Elle savait très bien qu'elle pouvait très bien se mettre à jouer les...hum..Les Salopes ? Il lui suffisait de se laisser découvrir et le surveillant se ferait un plaisir de rabaisser le jeune homme, tout cela sans même demander des explications à la Serpentarde ! Sa n'était pas une très bonne façon d'agir...Pourtant, lui, il ne s'était pas gêner pour lui faire encaisser tout un discours des plus amers...

Lyra demeura à sa place, ne prenant pas la peine de réfléchir d'avantage. Elle était sans doute une Serpy, mais elle n'était de ce genre de personne ayant un de ses gouts à créer des ennuis aux autres...Non ! La jeune femme recula lentement sa jambe et là, sa fut une sensation de douleur qui l'envahit. Elle passa sa main dans sa bouche et mordit de toute ses forces afin de retenir ce cris, et elle se dut de reculer encore, plaqua le jeune homme contre le mur, et la rapprochant encore plus de lui. Bon, sang ! Elle retira la main de sa bouche et constata avec horreur que celle ci était couverte de sang...Qu'est ce qu'elle avait envie de sortir de cette cachette et respirait l'air frais..Pourtant, il n'était pas encore partit...Il fallait attendre encore un peu...un tout petit peu.

On remarque souvent que lorsqu'on désire que le temps passe vite, il passe lentement et vice versa, le temps pendant lequel le pion resta la parut interminable pour Gabriel, n'osant pas bouger avec la peur au ventre que Lyra le dénonce... C'est vrai que l'an dernier se faire repérer et se prendre trois heures de colles l'aurait bien faire rire, lui qui avait passé la moitié de sa scolarité en heure de colle seulement la, ce n'était plus de simples heures de colles et il savait qu'a la moindre éreur les gryffy se fesait expulsé, déjà deux élèves étaient d'ailleurs rentré chez eux et trois autres encore également mais de leurs plein gré ne supportant plus la préssion. C'était une façon détourné pour rogue et ses compère de se débaréssé de tous les rouges et or et cela n'allait certainement pas en s'arrangant. Pour en revenir à la situation actuelle, ce qui faisait peur à Gabriel c'est que les serpentards en général prenaient un malin plaisir à les regardé partir et même à les dénnoncé lorsqu'il faisait le moindre écart au rêglement. Dans un premier temps, voyant que la jeune fille qui avait semblait surprise au moment ou il l'avait entrainé la, se colla à son torse pour voir de qui il s'agissait, il crut qu'il n'avait plus que quelques secondes désormais à passé à poudlard, sentant le pire. Cependant elle ne dit rien à ce moment la, faisant pensé à Gabriel qu'elle voulait d'abord joué avec ses nerfs avant de l'achevé. De l'autre côté le surveillant regarda presque chaques recoin de la pièce et il crut même un moment devant le bloquage qu'il fit qu'il les avaient démasqué. Pendant ce temps la, les choses s'accélérent également du côté de la serpentarde qui sembla se cogné la jambe et être sur le point de crié, il fut étonné de la voir se mettre la main dans la bouche pour ne pas le faire ... Elle n'avait donc aucune intention de le dénnoncé et c'était pour le moins curieux ... Plus encore, la aprés avoir regardé pourquoi le pion ne partait pas, il constata avec horeur qu'elle était même allez jusqu'au sang pour ne pas crié ... La situation était vraiment entrain de devenir particulièr et il sentait bien qu'elle ne tiendrait pas longtemps, heuresement ce fut quelques secondes plus tard qu'il quitta la pièce aprés avoir fermé la porte derrière lui. Il ne bougea pas immédiatement attendant qu'il ai fini de décendre les escaliers puis au moment ou il en jugea bon, il stoppa son étreinte sur Lyra afin de la laissé respiré.

Il commencé par la regardé d'un air inquiet, un nouvelle fois mais il était songeur également, d'une certaine manière elle c'était presque saigné pour lui, parce qu'elle elle ne craignait rien à être découverte bien au contraire ... En y repensant, plus le temps était passé depuis leurs arrivé dans cette sale, plus il découvrait un peu plus quelqu'un d'autres derrière le masque serpy qu'elle portait. Il la fit s'assoir sur une chaise qui se trouvait la et prit sa main dans la sienne pour regardé la bléssure. Elle était encore un peu affaibli pour se débattre et l'empêché de regarder sa main. Fort heuresement, le jeune homme avec quelques trucs sur ce genre de bléssure et il dirigea sa baguette vers la main de la jeune femme

Ne t'inquiètes pas, ma grand mère travaillait à ste mangouste en tant qu'infirmière, elle m'a appris quelques trucs, ça va juste néttoyé ta plai et commencé à la cicatrisé ...

Il murmura une formule d'un murmur et aussitot, le sans arrêta de couler et a bléssure se referma quelques peu, suffisant pour l'heure actuelle en tous cas. Il ne lacha pas sa main, voulant d'abord regardé si ça avait bien marché puis aprés un regard satisfait, il la lacha. S'éloignant, quelque peu perdu dans ses pensées. Lui avait été odieux depuis le début, méprisant et elle, même aprés tout ça, elle lui avait sauvé la mise, n'alertant pas le pion. Il ne savait plus trop quoi pensé, à cette instant précis, il avait un peu honte de lui mais il décida de rompre le silence avant qu'elle le face. Il se tourna vers elle, ayant repris la voix douce sincère et gentil d'auparavant

Tu n'auras plus qu'a mettre un pansement une fois dans ton dortoir ... et ...Merci ... Je sais pas pourquoi tu la fais ... Mais tu l'as fait ... Tu avais juste à crier ou même à signaler ta présence et j'étais cuits donc, je le répètes ... Merci.

Des paroles gentilles, sans doute trés rares entre serpentard mais comme elle, avait eut une question auparant, il avait à son tour la sienne à posé, une question qui comme tout à l'heure lorsque lui c'était défilé, changerait beaucoups de chose ou au contraire continuerai d'enfoncé la situation dans l'énorme quiproco qu'il avait choisit et qui dans ce cas le conforterais. Mais il avait besoin de savoir pourquoi ... C'était nécéssaire même si sans s'en rendre compte, le jeune Valkovic venait officielement de baissé toute garde face à la jeune femme en face de lui. Alors qu'il ne l'avait pas fait depuis que le pion était parti, il la regardait dans les yeux, cherchant à transpercé son regard pour savoir ... Un regard qui n'était plus sévère comme le ton de sa voix.

Pourquoi as tu fais ça ? Je t'ais insultés tout à l'heure, je t'ai traité comme ... Tu ne méritait vraisemblament pas de l'être ... Et toi tu as l'occasion rêvé de te vengé, l'occasion parfaite, idéale, pourquoi ne l'as tu pas fais ? qu'est ce qui t'as poussé à te mordre jusqu'au sang simpelement pour pas qu'il nous vois, tu ne risquais rien toi pourtant, j'aimerais comprendre ...

Il n'était pas loin d'elle et avec ses pensées attendaient la réponse de la jeune fille, c'était il trompé ? il le saurait bientôt ...

La vengeance, puisse t-elle être la meilleure des solutions pour faire valoir ce que l'on est ? Mettre en valeur sa haine et la laisser contrôler tout son corps..Est un des principes qui permettent de se faire respecter ? Pour la Serpentarde, sa n'était pas la bonne solution. Loin de là, elle était sans doute froide, et glacial, mais elle ne réagissez jamais en lâche. Sa n'était pas dans ses habitudes. Le caractère. Cette chose censée dire qui nous sommes..." Je saurais me montrer digne" Telle était la promesse faîte a sa mère. Une chose était sûr, jouer les lâches n'avait vraiment rien de digne, si elle avait voulu se débarrasser du jeune homme elle l'aurait fait depuis longtemps, sans attendre la venu d'un pion ! Seulement, sa n'était pas là son but. Elle voulait juste qu'on essaye de la comprendre, et qu'on est un peu plus confiance en elle, qu'on ne l'aborde pas les yeux débordant de méfiance et de haine. Lyra est une femme forte, qui se bat pour ce en quoi elle croit et pour ses idées. Mais il lui arrive d'être une jeune femme charmante. Et de façon sincère. Une femme sensible, compréhensive et à l'écoute. Les gens qui ont gagné sa confiance peuvent vous le dire. Elle est de bons conseils, a toujours une solution à tout et trouve les mots pour réconforter. Peu de personnes sont comme ça. Bien sûr, il faut qu'elle ait envie de vous aider, mais lorsque c'est vraiment le cas, sans aucune arrière pensée de sa part, vous pouvez être sûrs que si vous êtes dans une mauvaise situation, elle vous en sortira. Peu de personne arrivait à voir cette facette, pourquoi ? Tout simplement parce qu'on la juger par ce qu'elle n'était pas . Encore une fois, dès le moment où vous faites partie de son cercle de confiance, elle restera une amie loyale et pleine de générosité.

Elle n'était pas que mauvaise, elle avait des sentiments, des émotions, bien que son masque de fierté dont elle ne savait s'en dépêtrer les cache. Elle ne reste pas insensible à tout...Elle ne serait certes pas humaine à ce moment là. .Et attention ! Si vous la décevez, que vous la trahissez ou que vous la faites souffrir de quelque manière que ce soir, vous le regretterez amèrement. Non seulement elle est très rancunière, mais elle est patiente et surtout très fourbe. Puis, dans ces cas-là, elle peut faire preuve d'une imagination sans limites. Vous le faire payer pourrait devenir un jeu pour elle, où vous faire souffrir est le but ultime. Et ce ne sera pas simplement vous jeter un sort, ce ne sera pas physiquement. Du moins pas seulement. De sa grande éloquence, elle sait bien parler, vous faire croire ce qu'elle veut. Charme par ses mots, ses gestes. Les hommes se font souvent plus facilement avoir que les filles d'ailleurs.

Sa respiration était des plus haletantes à présent, sa tête toujours sur le jeune homme qui la retenait de ses bras, sans parler de la douleur de sa main et de sa jambe. Comment pouvez t-on dire dans ses conditions. La volonté, voilà comment la vert argent parvenait toujours à s'en sortir, à obtenir ce qu'elle souhaiter. L'air lui manquer. C'est alors que le pion finis enfin par quitter la tour au plus grand plaisir de Lyra. Elle y était parvenue. Elle avait tenu bon. D'où elle se trouvait elle l'entendait descendre les escaliers...Il était partit ! Lentement la jeune femme repris sa respiration, le jeune homme s'était enfin décidé à la relâcher. Il sortit le premier, elle s'apprêtait à se relevé, mais le jeune homme fut le premier à l'aider, il posa alors sur une chaise. Elle croisa alors son regard pensif. Lyra détourna la tête et posa ses pupilles sur sa main où le sang coulait à flot. Sa main se retrouva alors dans celle du Gryffondor. Elle ne comprit pas de suite. Elle voulait retirer sa main tremblante, mais elle n'avait pas la force, s'était à peine si elle arrivait à le voir.

-Ne t'inquiètes pas, ma grand mère travaillait à St mangouste en tant qu' infirmière, elle m'a appris quelques trucs, ça va juste nettoyé ta plaie et commencé à la cicatrisé ...

Lyra releva la tête et essaya de distinguer ce qui se tramait, elle ne comprenait plus rien, rien du tout, voulait-il lui tendre un piège, comme il l'avait fait tout à l'heure, il était passé du discours doux au sévère, puis maintenant l'inverse ! Pourtant elle le laissa faire, sa main tremblante et froide dans la sienne. Le sang s'arrêta de couler et sa plaie se referma lentement sous ses yeux. Elle afficha un sourire et alors qu'elle voulait le remercier,celui ci s'éloigna. Toujours aussi pensif...Lyra soupira ferma les yeux prise de fatigue, mais elle se dut de les réouvrir aussi vite qu'elle les avait fermé. Le jeune homme lui faisait maintenant face et s'était avec une voix douce qu'il s'adressa à elle :

-Tu n'auras plus qu'a mettre un pansement une fois dans ton dortoir ... et ...Merci ... Je sais pas pourquoi tu la fais ... Mais tu l'as fait ... Tu avais juste à crier ou même à signaler ta présence et j'étais cuits donc, je le répètes ... Merci.

Il la regarda ensuite droit dans les yeux...Comme il ne l'avait jamais fait depuis leur rencontre. Il s'aventurer dans ses grands yeux bleu abysse, bleu abîme...Il chercher une réponse...Mais quelle réponse, que pourrait-elle bien lui répondre ? Il ne trouverait rien dans son regard, il ne fera juste que se perdre...se perdre au milieu de cet jolie couleur bleue. Pourtant, il ne détourna pas ses yeux.

- Pourquoi as tu fais ça ? Je t' ai insultés tout à l'heure, je t'ai traité comme ... Tu ne méritait vraisemblablement pas de l'être ... Et toi tu as l'occasion rêvé de te vengé, l'occasion parfaite, idéale, pourquoi ne l'as tu pas fais ? qu'est ce qui t'as poussé à te mordre jusqu'au sang simplement pour pas qu'il nous vois, tu ne risquais rien toi pourtant, j'aimerais comprendre ...

Elle n'ignorait pas ce qu'il avait dit, elle l'écouta jusqu'à la fin, le regardant toujours . Assise sur la chaise,lui tout près d'elle, il pouvait encore sentir se délicieux parfum d'été qu'elle dégager. Il attendait sa réponse avec impatiente, elle pouvait le deviner. Elle laissa afficha un sourire sur son visage, un sourire des plus mignon qu'on pourrait retrouver chez peu de fille..très peu.

- Si je l'avais fais c'est que Ton image de moi serait encore plus mauvaise . Tu m'as déjà assez confondus avec une autre alors pourquoi je rabaisserais encore ma propre image ? Au moment où tu as franchis la tour, tu m'as de suite juger, juger trop vite à mon gouts , je n'ai rien dit, puis je n'ai eu que le choix de me défendre. Si j'aurais voulu je me serais servis de ma baguette pour régler ton compte...Et tu aurais toujours cette mauvaise idée de moi dans l'esprit, celle de la jeune femme Serpentarde au cœur plus noir que la nuit...Mais sa n'était pas dans mes attentions. Je suis loin d'être lâche, et je n'agis jamais de la sorte. Je ne suis pas celle pour qui tu m'as prise...Navré de te l'apprendre. Moi je ne suis que Lyra, Lyra Bilnakie...

Elle ne rajouta plus rien, elle avait pris la peine de répondre à sa question. Qu'attendait-il à présent de sa part ? Lyra soupira une nouvelle fois, elle avait le cœur gros, mais elle dissimuler toute cette horrible faiblesse.

Le calme aprés la tempête, enfin désormais, aucun des deux ne jouaient un jeux maintenant, c'était plutot une réèlle découverte de l'un et de l'autres. Mais bon, ce qui c'était passé au début était normale entre un serpy et une gryffy, c'était un grand classique ces petites mésantantes cependant sa conscience lui disait qu'il avait tout était sauf l'égal de lui même avec la jeune fille en face de lui. S'éxusé était un peu fort pour lui et son orgueuil mais il pouvait au moins éssayé de donné une meilleur image de lui, une image en tous cas plus réaliste qu'actuellment. Tantôt le silence, tant un sourrire amicale, c'était une ambiance quelques plus seraine. Il attendit la réponse de la jeune femme aprés l'avoir soigné et lui avoir demandé pourquoi elle avait fait ça et cela ne se fit pas attendre

- Si je l'avais fais c'est que Ton image de moi serait encore plus mauvaise . Tu m'as déjà assez confondus avec une autre alors pourquoi je rabaisserais encore ma propre image ? Au moment où tu as franchis la tour, tu m'as de suite juger, juger trop vite à mon gouts , je n'ai rien dit, puis je n'ai eu que le choix de me défendre. Si j'aurais voulu je me serais servis de ma baguette pour régler ton compte...Et tu aurais toujours cette mauvaise idée de moi dans l'esprit, celle de la jeune femme Serpentarde au cœur plus noir que la nuit...Mais sa n'était pas dans mes attentions. Je suis loin d'être lâche, et je n'agis jamais de la sorte. Je ne suis pas celle pour qui tu m'as prise...Navré de te l'apprendre. Moi je ne suis que Lyra, Lyra Bilnakie...

Alors comme ça elle n'avait pas voulu donné une mauvaise image d'elle même ... Décidément dans cette histoire il avait tout eu faux, et n'avait céssé de s'enfoncé dans son délire. Mais maintenant il avait toute la liberté d'apprécié Lyra, comme il le savait désormais, à sa juste valeur et non pas comme un substitu de certains serpentard et elle avait raison elles nétait pas qu'une serpentarde, elle était Lyra bilnakie. Il lui répondit donc sur un ton joviale et avec toujours ce beau sourir qu'il gardait désormais bien que celui possède quelques tracess de culpabilité, il prit à sont tour une chaise pour s'assoir pas trés loin d'elle

Je crois qu'on est partit de mauvaise base ... Enfin plutot je suis partit sur de mauvaises bases, mais faut que tu saches qu'habituellement je ne suis pas comme ça. Mais ces temps si je suis comment dire ... Un peu tendu c'est vrai mais bon ce n'est pas des trucs dont je veuilles parlé ... Au fait je m'appel Gabriel Valkovic ...

Décidé à donner une meilleur image de lui il engagea donc officielement une conversation amicale. Visiblement, il avait déjà un point commun : Le sommeil légé ces temps si et avait tous les deux besoins de s'isolé en venant ici il se risqua donc à demandé pourquoi

Donc donc, maintenant que les présentations sont faite, peux tu me dires pourquoi es tu venu ici si tard ?

C'était peut être un peu indiscret mais bon maitenant il était grand temps de faire connaissance avec la jeune femme présente avec lui qui par ailleurs était loin de le laissé indiférent et puis c'était sympa de faire une nouvelle rencontre même si c'était avec une serpentarde et que c'était mal parti, il faisait abstraction de tout ça désormais et une idée lui vint à l'esprit. Il en avait un peu mart de rester cloitré ici et bouger un peu les ferait se changé les idées. Le seul problème dans cette idée c'était qu'elle semblait encore un peu fragile au niveau des jambes mais il pouvait peut être faire quelques choses si elle ne pouvait vraiment pas marcher.

Dis moi avant que tu me répondes, ça te dirais pas d'allez faire un tour ? Parce que je commences un peu à me sentir à l'étroit ici mais je sais que tu as mal aux jambes donc si tu veux je connais une formule pour te soulager ...T'inquiètes, c'est comme tout à l'heure, tu ne sentiras rien à part moins de douleur au niveau des jambes bien sur ...

Changé d'endroit permettrait plus d'ailleurs de faire connaissance, l'ambiance pesante qui avait reigné dans la pièce étant toujours plus ou moins présente. Il souria en pensant intérieurement que si elle accepté se serait la première fois de sa vie qu'il ferait une visite nocture aux côté d'une serpentarde dans le chateau. Il attendit donc sa réponse pour soit soulagé sa jambe, soit y allé sans le faire ou dans le dernier cas resté ici ce qu'il ferait avec le sourir dans tous les cas puisque désormais en apprendre plus sur la jeune fille était la seul chose qui l'intéréssait.

- Je crois qu'on est partit de mauvaise base ... Enfin plutôt je suis partit sur de mauvaises bases, mais faut que tu saches habituellement je ne suis pas comme ça. Mais ces temps si je suis comment dire ... Un peu tendu c'est vrai mais bon ce n'est pas des trucs dont je veuilles parlé ... Au fait je m'appelle Gabriel Valkovic ...

Gabriel Valkovic ...A l'avenir aura t-elle le répits d'oublier ce nom ? Non, sa n'était pas la peine d'essayer . Lyra allait s'en souvenir de ce Gryffondor. Elle le regarda sourire, un sourire sincère, puis il prit une chaise et s'assit en face d'elle. Elle lui avait expliquer et...Il avait apparemment compris. Il avait fait une erreur, un faux pas, qui sait ce qui serait arrivé si il l'avait abordé différemment, en était moins méchant avec elle , qui sait ce qui se tramerait en ce moment...Lyra ne rajouta rien à ces paroles, elle demeura silencieuse attendant la suite des évènements...Ses jambes ne lui faisaient presque plus mal, elle ne sentait presque plus aucune douleur la parcourir. La conversation s'engagea alors très vite...La Serpentarde avait l'impression de voir quelqu'un d'autre face à elle.

- Donc donc, maintenant que les présentations sont faite, peux tu me dires pourquoi es tu venu ici si tard ?

Elle s'apprêtait à lui répondre mais il prit une nouvelle fois la parole toujours sur un ton si gentil :

- Dis moi avant que tu me répondes, ça te dirais pas d'allez faire un tour ? Parce que je commences un peu à me sentir à l'étroit ici mais je sais que tu as mal aux jambes donc si tu veux je connais une formule pour te soulager ...T'inquiètes, c'est comme tout à l'heure, tu ne sentiras rien à part moins de douleur au niveau des jambes bien sur ...

La Serpentarde se releva de sa chaise, partante pour une petite promenade nocturne. C'est vrai que l'ambiance de la tour commençait à être un peu froide, même si les deux personnes étaient largement posées. Elle le suivit en dehors de la tour, ayant reprit le mouvement de ses jambes. La douleur était quasiment parite :

- Sa ira maintenant, je n'ai plus mal...Et en ce qui concerne ma présence ici... La nuit n'est pas de tout repos dans mon dortoir vois-tu...Les filles s'amusent à ronfler aussi fort que des cochons...Je ne pouvais pas fermer les yeux, alors j'ai eu l'envie de faire un petit tour.

Elle ne lui retourna pas la question, elle n'avait pas envie de savoir ce qu'il faisait à cette heure ci. Elle n'avait qu'une envie à présent se reposer dans son lit...et essayer de repartir sur de nouvelles bases. Elle traversa les couloirs en sa compagnie, se dirigeant vers les cachots, elle voulait rentrer à présent. Le jeune homme accepta de l'accompagnait, à sa plus grande surprise. Lyra retrouva l'ambiance des cachots,...Elle s'arrêta aussitôt, elle savait que le jeune homme ne pouvait aller aussi loin. Elle lui fit face et afficha un sourire sur son visage.

- Bon je crois qu'on va devoir se séparer ici...A la prochaine Gabriel.

Elle s'avança dans sa direction et la réponse du Gryffondor n'eut même pas le temps de résonner à son esprit. Ses mains s'étaient déjà déposées sur son visage. Ses lèvres avaient emprisonné les siennes. Et rien, non rien en cet instant, n'avait plus d'importance. Elle le relâcha enfin, un sourire sur visage d'ange...Le laissant le temps de comprendre ce qui s'était passé , seule, accompagné seulement d' une douce odeur de parfum d'été ...

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