Once upon a time....[Pv]

Asseyez-vous jeune homme je vous en pris...

Clovis suivit les conseil de la jeune femme et s'assit sur le fauteuil en velour rouge de la petite salle obscur. Comme à chaque fois il ne disait rien, il se contentait de rester silencieux et de fixer son regard sur une chose insignifiante de la piéce, cette fois là il avait jetté son dévolus sur le vase en porcelaine de Chine. La jeune femme vêtus de son tailleur gris ne disait rien non plus, elle connaissait bien Clovis, cela faisait maintenant quelques mois qu'elle le suivait, et elle savait trés bien quand elle devait lui parler où non. La premiére fois qu'elle vu Clovis à son cabinet elle du avouer qu'elle fut frappé par cette beauté froide sans expressions, au fur et à mesure qu'elle parlait avec lui sa surprise se transforma en fascination puis en peur. Aprés quelques minutes elle toussota légérment et s'enquit des quelques banalités pour commencer en douceur.

Alors Clovis comment allez vous aujourd'hui ?

Clovis resta silencieux quelques instants puis il plongea son regard sombre dans les yeux clairs de la jeune femme. Il l'observa quelques minutes, prenant soin d'analyser ses traits et ses courbes, pour une psychiatre elle était vraiment jolie, cela ne l'aurait pas gêné de batifoller avec elle. Il détourna ensuite son regard du sien et répondit froidement.

On s'en fous de comment je vais, commencer votre boulot, allez y fouiller moi le cerveau !!!

La jeune femme fut parcourus d'un léger frisson, elle ressentait toujours ça quand il s'adressait à elle, la froideur de sa voix l'a métté mal à l'aise. Elle commenca donc son travail et s'enfonça dans le fond de son fauteuil, un petit clapin aux mains pour prendre des notes.

Vous souvenez vous ou nous en étiez ?

Clovis s'enfonça également dans le fond de son fauteuil et leva les yeux vers la fenêtre, il n'aimait pas la regarder en racontant ce passage de sa vie, non pas qu'il avait honte, c'est juste qu'il ne voulait pas la voir noter les moindres phrases qu'il prononcait, cela l'agacé fortement.

On en était à ma cure de désyntox....

Non Clovis nous en étions à votre mére, pourquoi souhaitez vous passer ce passage de votre vie aussi vite ?

Clovis l'a regarda de nouveau d'un regard mauvais, il ne souhaitait pas parler avec elle et encore moins avec elle, il se contenta de hocher la tête.

Je n'ai jamais eu de mére..

Je comprend bien que vous ne souhaitiez pas en parler mais je pense que votre mére est la clé de tous vos problémes et je pense que nous dervions en...

Clovis c'était levé, les yeux pleins de rages il attrapa la jeune femme par les épaules, elle était à la fois terrorisée et fascinée, il était tellement beau, elle avait à ce moment précis une folle envie de l'embrasser mais se retins. Clovis parla doucement mais avec un ton à glacer le sang.

Ecoutez, si je suis ici c'est uniquement parceque j'y suis obligé, je ne compte pas vous racontez ne serais ce qu'un détails de ma vie vous m'entendez ?!! Si vous reparlez encore de ma mére je vous jure que je vous brise ce jolie poignet...

Il la poussa violament contre le siége et prit la direction de la sortie, une fois dehors il sortit furtivement une cigarette et la fuma avec impatience. Il haissait allez chez le psy, mais il était obligé, c'était une des conditions à sa réinsertion à Poudlard, il detestait faire le guignol sur le siége en racontant sa vie à une pute en tailleur gris. Arrivé dans l'enceinte de Poudlard il jeta sa cigarette et s'en ralluma tout de suite une autre, il était enervé, il bousculait violament les gens sur son passage, une jeune fille tomba d'ailleurs à la renverse. Ignorant les protestations il monta à sa salle commune. A son grand soulagement elle était vide, les charmants petits serpys devaient bronzer sur la pelouse du parc comme des saucisses molles. Clovis seul, pouvait laisser échapper sa rage. Il prit d'abord les livres présents sur la table d'études ignorant à qui ils appartenaient et les jetta dans le feux, ensuite il balanca une table par dessus l'autre et donnait des grands coups de pieds dans les fauteuils, en reversant un au passage. Si il n'avait pas entendu un bruit de pas dans l'escalier il aurait surement jetté le fauteuil également, mais ne sachant pas qui il allait croiser il se contenta d'allumer une cigarette et de se caler dans le canapé....

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