petite escapade ...

Le soleil entame sa course effréné vers l'horizon. Comme chaque soir, il a été vaincu par la lune qui lentement elle, monte vers le ciel pour le gouverner, pour montrer sa puissance à toute l'humanité. Le jour laisse place à la nuit. Le bruit habituel de la journée se rabaisse face au silence mortuaire de la lune. C'est un nouveau monde qui naît, un monde ténébreux, sombre. Lors de sa descente vers les enfers, le soleil teint le ciel en une couleur orange-rouge. Une couleur chaude ? la couleur du sang peut-être qui témoigne de la défaite de l'étoile face à l'astre. Le couché du soleil crée de magnifiques ombres à partir des arbres qui s'allongent sur des mètres et des mètres. Les gens commencent gentiment à rentrer dans leur habitation, les animaux également. Tout le monde s'apprête à aller se coucher pour entrer dans un troisième monde. Celui du rêve. Une monde imaginaire où on l'on aime se prélasser pendant des heures. Mais notre monde même se divise en deux. Celui des moldus et des sorciers. Nous vivons dans plusieurs monde en même temps, en parallèle. Le couché du soleil est la transition d'un monde à un autre.
C'est dans ce monde ténébreux, sombre et sans lumière que je me réveillai. J'étais dans mon lit, à Poudlard. Je mis quelques temps à me situer, croyant comme à chaque fois que j'étais chez moi à York. Je finis par réaliser l'endroit où je me trouvai. J'avais eu le temps de m'habituer à l'obscurité avec mes yeux. Un dortoir des plus normaux. Je me relevai et m'assis. Je regardai les autres dormir, leur visage n'exprimant aucune émotion mis à part le bonheur de pouvoir dormir.

*hmmm ...*

Je me levai. Je m'habillai rapidement et sortis du dortoir. J'avais perdu la motivation en toute choses quasiment. Les jours se suivaient et se ressemblaient. Aucune variabilité, une monotonie parfaite. Une monotonie qui rendait la vie si ennuyeuse, si longue ! Longue ? Mais je n'avais vécu que 17 ans et des poussières, était-ce vraiment une longue vie ? Lorsque l'ennuie l'emporte, le nombres d'années importent peu, car la qualité de cette vie est si misérable qu'elle s'use aussi vite qu'une vie de 100 années. Voila dans quel cas je me trouvais. C'est triste non ? Oui c'est triste ... j'essayais de trouver une occupation, des sensations fortes qui me feraient sortir de cette constante monotonie dans laquelle je me trouvais. J'avais envie de VIVRE. Etait-ce trop demandé ? Je n'en sais rien, mais les jours continuaient toujours d'avancer et ma vie s'était arrêtée il y a bien longtemps. C'est donc dans cet esprit de recherche de sensation que je décidai de sortir du dortoir pour me promener dehors pendant la nuit.
Suis-je fou ? Peut-être. Je n'avais pas peur, je ne ressentais pas le danger de la même manière que tout le monde. De plus j'adore la nuit, c'est le moment de la journée qui me convient le mieux. Je suis dans mon élément. Me voilà dans le couloir. Il était calme, comparé à la journée où il grouille de monde. Ce soir, à 23h15, il était aussi désert qu'une ville fantôme. C'était donc sans bruit que je me dissimulai dans le couloir et que je me dirigeai vers un tableau représentant un grand botaniste du XVIIème siècle. Je l'appréciais beaucoup pour ses nombreuses recherches sur les plantes magique aquatique. Mais en ce moment même, je ne l'appréciais pas vraiment pour ses recherches mais plus pour ce qu'il cachait. Mais que cachait-il donc me demanderez vous ? Mais c'est très simple, un passage secret connut par de nombreux serdaigles. Ce passage a la particularité de mener directement l'utilisateur au rez-de-chaussée. Utile non ? C'est ainsi que je me retrouvai directement devant la grande porte qui mène dehors. Mais elle était fermée, ce qui n'est pas étonnant à une heure si tardive. Mais je ne suis jamais à cours d'idées. La gargouille qui représente un drôle de gobelin, un alchimiste de XIIIème siècle je crois, est une porte de sortie pour le parc qui mène directement à une fontaine. Je me dirigeai donc aux cachots, empruntai le passage.
J'étais dans le parc. Le vent soufflais légèrement et faisais bouger les arbres de la forêts interdite. Ceci produit un bruit qui pour beaucoup aurait paru très horrifiant. La peur ne faisais pas vraiment partit de mes sentiments négatifs ... je ne ressentais que très rarement la peur. Une qualité ? Un défaut ? Qu'importe ... nous ne sommes pas ici pour parler de peur, quoi que ... Mais je m'égare. J'étais donc dans le parc, au bord de la forêt réputée pour être interdite du fait que de nombreuses espèces très dangereuse y vivaient. Il faisait vraiment noir, c'est pour cela que je sortis ma baguette magique.

Lumos

Un filet de lumière jaune sortit de ma baguette pour ainsi éclairer les alentours. Je décidai de m'enfoncer dans la forêts pour faire une petite ballade qui je l'espérais, serait forte en émotion, avec de l'action, de la nouveauté. J'avais également envie de voir de nouvelles plantes magique, j'adorais les plantes magique et souvent, lorsque je me baladais dans la forêts, je découvrais de nouvelles espèces que je n'avais jamais vu au par avant. Je pouvais donc les étudier tranquillement. C'était pour cela que j'adorais venir ici la nuit. C'était mon petit jardin secret, mon petit passe-temps favoris.
Soudain j'entendis du bruit. Y avait-il quelqu'un ? J'espérai silencieusement que non. Si je me faisais attraper à cet heure ci, à cet endroit précis, c'était fini pour mon avenir d'Aurore. J'utilisai donc un sortilège de camouflage, qui me permit sans façon de paraître invisible quelques instant. Ce sortilège ne durait pas indéfiniment, comme un cape d'invisibilité, mais il durait suffisamment longtemps pour me donner le temps de me cacher quelque part et d'observer d'où venait ce bruit. Je regardai aux alentours et ne vis personne. Je ne fis aucun bruit et dans un silence parfait, je continuai à m'enfoncer dans la forêt.

« Vois comme cette petite chandelle répand au loin sa lumière !
Ainsi rayonne une bonne action dans un monde malveillant »
Shakespeare

Il parait que « la vie est un collier de peur »,c’est certainement vrai…la peur est le seul sentiment qui ne peut être enlever a l’homme dans sa folie vers la grandeur.la peur n’appartenait pas a l’homme…c’est plutôt l’homme qui appartenait a la peur,c’est ce même sentiment qui contrôlait tout…la peur d’être seul,la peur d’être abandonné,la peur de ne pas être a la hauteur,la peur d’échouer,la peur de perdre un être cher,la peur de mourir…et au bout du compte qu’est ce qui nous resté ?des souvenirs…et un pas a franchir vers la mort.
Les hommes passés toute une vie a se déchirer,se faire la guerre,se haïr,cultiver la différence,s’aimer,se désirer…et pourtant ils finissaient tous par périr un jour ou l’autre alors a quoi bon détester ou aimer une chose ephemere.la vie c’était un mélange de bonheur et de malheur…il arrivait que cela soit amer que l’on ai envie de tout recracher…mais il arriver aussi que le goût soit si bon qu’on veuille qu’il restât pour toujours dans notre bouche.et c’est ces moments la qui nous suivaient toujours.

Une fille…une fille marchait.seule.elle s’en fichait elle avait toujours été seule dans cette vie…elle serai seule jusque dans l’autre.Seule.encore.elle marchait en contemplant le crepuscule.C’etait le moment de la journée qu’elle préféré,peut être car c’était le seul moment de la journée ou le jour et la nuit ne faisait plus qu’un,ou le noir et l’obscurité se mêlé en une extase totale a la lumière et le jour…preuve que les opposés ne pouvaient vivre sans l’autre…preuve que leur existence même reposait sur leur contraire…le mal ne pouvait exister sans le bien et le bien ne pouvait exister sans le mal.
Elle avait souffert dans sa vie, des gifles elle s’en été pris.mais elle s’était relever, gardant le bien de sa personne tout comme le mal.peut importe…arrivée a ce point c’était la même chose.
Elle gardait encore les marques sur sa peau salie, elle gardait les blessures de son cœur meurtri, elle gardait les failles de son âme détruite, et pourtant chaque jour elle essayait de recoller les morceaux, de combler les fissures afin d’aller plus loin.

Une fille…son nom…elle avait tant voulu qu’il n’existât pas.Il fut un moment ou elle s’appelait Lily,juste Lily…enfin c’était avant qu’elle soit adoptée…elle n’aimait pas Willelmina,il ne sonnait pas bien,elle préférait Lily.D’ailleurs tout le monde ici l’appelait Lily et non pas Willelmina,il faut dire qu’elle sautait a la gorge au premier qui l’appelait willelmina ou « will ».Sa mère,sa vraie mère l’avait appeler Lily,elle devait respecter cette dernière volonté.

Lily…un bout de paradis dans un véritable enfer…une garce certains diront, belle, pétillante, provocante…mais tellement mystérieuse et si noire réellement.
Se cacher avait toujours été plus simple que de montrer qu’est ce qui se trouver dans les tripes.
Mais peut importait, elle savait ou elle allait a présent, ce que son « frère » d’adoption voulait, et ce que elle devait faire.
Partir ?certainement.cela serai mieux pour tout le monde, elle le savait.
Marchant sur le sentier battu de la foret interdite, humant l’air délectable de la nuit, Lily s’engouffrait peu a peu dans les ténèbres, puisque la vie c’est être seul dans le noir, puisque la vie c’est suivre une lumière…puisque la vie c’est un tunnel

« « -le mal que font les hommes vit après eux, le bien est souvent enseveli avec leur cendre » »

Cette citation de Shakespeare était faite pour elle pour eux, pour le monde dans lequel elle vivait.
Elle s’arreta.elle venait d’entendre du bruit…elle se rappela alors qu’elle ne devait pas être la dans cette foret interdite…interdire était pourtant la meilleure chose a dire pour que quelqu’un ai envie de le faire.
Elle se glissa derrière un arbre et aperçu un garçon qui marchait un peu plus loin…
Elle qui se croyait seule elle devrait revoir cette notion a la baisse.mais a peine avait elle eu le temps de bouger que plus rien….plus de jeune homme a l’horizon…elle sourie…comme si la personne avait penser que Severus serait la ce soir…
Elle s’assit au pied d’un arbre, les rayons de lumière frappant son visage angélique…et ferma les yeux.elle avait mal…c’est alors qu’elle s’aperçue qu’elle saigner vraiment, elle s’était coupée avec une branche.

« - ... »

Dans 3minutes il n’y aura plus de lumière
3minutes : le vent souffle dans ses cheveux blond,elle n’a pas froid,pas chaud,elle est comme dans un rêve dont elle voudrai se réveiller sans pour autant réussir…elle s’accroche pourtant a ce songe que le vent dans ses cheveux installe en elle…
2minutes : le sang coule sur sa main blanche...le vent adoucit les moeurs
1minute : il fait de plus en plus noir, la vie s’estompe, les arbres deviennent flou
0minute : le chaos…
sauf un bruit…

« -bon ca suffit je sais qu’il y a quelqu’un !!c’est extremement impolie d’epier comme ca les personnes,j’aimerai au moins savoir qui est la ! »

Le bruit que j'avais perçu se fit plus fort et plus proche. Quelqu'un m'observait ou bien était présent au même endroit que moi. Il fallait que je sache qui c'était, ce que c'était. Un bon sorcier est un sorcier qui sait assurer ses arrières. Le danger pouvait venait de n'importe où dans cet endroit sombres et ténébreux. La Forêt Interdite ne portait pas ce nom par pur hasard. Elle était interdite car le danger était présent constamment. Le nombres de créatures effroyable se logeant dans les recoins sombres de cette forêt était incroyable. Encore de nos jours, des bêtes encore inconnue de nos registres y vivaient. Cette forêt respirait la mort.
C'est donc cette raison qui me poussait à prendre garde au moindre petit bruit. Il ne fallait surtout rien négliger. C'est l'inattention qui mène à la perte. C'est donc dans cet esprit de survie que je rebroussai chemin pour trouver la source de ce bruit. J'étais toujours sous l'emprise de mon enchantement de camouflage. Si un ennemi se trouvait dans les parage, j'avais envie d'avoir l'avantage sur lui. Cet avantage que j'utilisais se traduisait par l'invisibilité. Je gouvernait l'autre par la vision plus distincte que j'avais sur lui et que celui ci n'avait pas sur moi. Mais si je restais très discret sur l'aspect visuel, je ne l'étais pas autant avec le son. C'est ainsi que je marchai sur une branche sèche. Moi qui faisais attention à tout, je fis l'erreur la plus commune, la plus stupide. L'erreur de ne pas regarder précisément sur quoi je marchais. La réaction fasse à mon bruit se fit entendre instantanément.

Bon ça suffit je sais qu'il y a quelqu'un !! C'est extrêmement impoli d'épier comme ça les personnes, j'aimerai au moins savoir qui est là !

Une voix. Une voix féminine pour être précis. Elle était toute proche. C'est donc sans bruit que je m'avançai à elle, toujours invisible mais que pour très peu de temps. Et je la vis. Elle était là, assise au pied d'un arbre, un chêne pour être précis. L'avantage que j'vais sur elle de ne pas être vue pour un court instant, me donna l'occasion de pouvoir l'observer secrètement. J'étais à environ dix mètres d'elle, mais cela ne m'empêcha pas de pouvoir voir la magnifique beauté qu'elle dégageait.
Sa chevelure blonde comme l'or illuminait d'un rayon doré le petit espace dans lequel elle se trouvait. Elle donnait à l'atmosphère sombre et froide de la forêt une chaleur rassurante. C'était impressionnant. Mais pas autant que sa peau. Les rayons de la lune donnait un aspect blanc comme la neige à sa peau. C'était incroyable. C'était troublant. Ses yeux d'un bleu profond comme l'océan, rendait son regard mystérieux et plein d'émotion. Cependant je ne discernais pas bien si elle était triste, joyeuse ou en colère. C'était très difficile de lire à travers son regard. Les yeux sont les fenêtres de l'âme. Ne pas savoir lire à travers ces miroirs me mettais quelque peu mal à l'aise.
A ce moment précis je ne voyais pas une fille comme toute fille que l'on croiserait dans la vie de tout les jours. Je voyais une Elfe. Ces créatures de la forêt a l'allure parfaite et au regard qui vous envoûte. Une créature mystérieuse, douce. J'assistais à un spectacle des plus splendides.
Le rayon de lune qui illuminait cet être resplendissant de beauté disparut. Je sortis d'un coup de mes rêveries et retomba dans le monde de la réalité. Je mis fin à mon camouflage, me révélant avec un visage n'exprimant aucune expression. Je n'exprimais que très rarement mes émotions, et même si là je venais d'assister à quelque chose de magnifique, je ne le montrai pas pour autant. Je lui dis tout simplement.

Cesse de crier et de t'énerver ... Je ne t'épiais pas ...

Pourquoi lui parlais-je ainsi ? Pourquoi étais-je si froid alors qu'il y a à peine quelques secondes j'étais en admiration devant elle ? Pourquoi n'arrivais-je pas lui montrer à quel point sa beauté me touchait ? Tant de questions sans réponses.
C'est alors que je vis sa robe de sorcière. Elle appartenait à la maison Serpentard. Que devais-je comprendre par ça ? Les serpentards avait une très mauvaise réputation au sein de cette école. Ils étaient fourbes et sans aucun respect pour les autres maisons, pensant que celles ci ne comportaient que des sorciers au sang impurs, des sorciers sans grande importance. C'était donc pour cela que le fait qu'elle venait de serpentard me rendait quelque peu interrogatif sur sa présence. Etait-elle là pour me jouer un mauvais tour ? Je n'en savais rien, mais je restais sur mes garde, sans pour autant le montrer.

Si je me cachais c'était simplement pour être discret ... Je ne sais pas si tu l'as remarqué mais tout deux nous ne respectons pas le règlement. Mais visiblement... Je suis bien plus discret que toi. La prochaine fois, tu peux aller au milieux du parc et crier au et fort que tu es dehors.

J'étais quelque peu méchant et froid. Mais je n'avais pas vraiment un très bon feeling avec le contact humain. Mais cela n'excusait pas ma façon dont je lui parlais. Cette fille, malgré sa maison, avait l'air de ne pas être comme tout les autres serpentard. Ce n'était qu'une impression, rien de plus. Elle possédait en plus, une beauté sans pareil. J'avais honte de lui avoir parlé de cette façon. Je voulais m'excusé mais ne trouva pas la force.
Je la regardais toujours droit dans les yeux sans rien dire. J'étais calme et respirais lentement. J'attendais maintenant sa réaction. Elle allait sans doute mal prendre ma façon dont je lui avait parlé, c'était évident. J'attendais donc la sentence que je méritais.

Le son du silence avait toujours était le meilleur ami de Lily.Depuis toute petite elle s’était enfermée dans cette bulle protectrice du monde qui l’entourait. Elle ne parlait presque jamais petite…de la mort de sa mère a sa naissance jusqu'à ses 4ans environ elle n’avait prononcé aucun mot…se sentant sans doute déjà seule dans ce manège infernal qu’était l’univers.
Et puis petit a petit elle s’était exprimée d’une autre façon ; le dessin.elle passait son temps a dessiner a l’orphelinat, elle ne se lier avec personne…pourquoi être accompagné et déchiré alors que l’on peut souffrir seul ?
Et depuis qu’elle était a poudlard elle avait pris l’habitude téméraire de venir tout les soirs se retrouver seule avec le silence et l’interdit.
Lily avait toujours cette vieille musique moldue a chaque fois qu’elle venait ici…toujours,elle se souvenait petite a l’orphelinat lorsque elle avait allumer la « télévision » et qu’elle avait pu voir deux homme chantant,cette musique était devenue la bande son de son existence…elle se souvenait parfaitement des paroles… « Hello darkness my old friend… » Des les premières notes, Lily s’était tout de suite identifié a cette musique…
Et ce soir encore cette vieille musique résonnait dans sa tête…

« And the vision that was planted in my brain
Still remains
Within the sound of silence. »

Le son du silence…
voila pourquoi a présent Lily était très attentive a tout les sons qui l’entourait,voila pourquoi au moindre bruit Lily se méfiait…elle tourna la tête vers la source du bruit.elle entendait les pas près d’elle.puis elle entendit une voix qui cassa complètement le silence dans lequel elle s’était installée depuis qu’elle était sortit.la voix était plutôt froide,mais elle sentait quelque chose derrière…alors elle se tourna vers lui et chercha le contact de ses yeux.Lily agissait toujours ainsi,elle regardait toujours droit dans les yeux car les yeux était un miroir d’émotion,on ne pouvait mentir avec les yeux.
Le garçon qui se trouvait en face d’elle était son opposé exact…plutôt grand,la peau typée au grain caramel,des yeux sombre mais terriblement profond jurant a la perfection avec ses cheveux noir comme l’ébène,il avait de la musculature et ses courbes semblait attiré les rayons de la lune.elle ne put s’empêcher de se comparer a lui…Blonde dorée,les yeux d’un bleu intense la silhouette fine et élancée un visage d’ange…mais tout cela n’était que son physique…qui pourrai croire qu’une poupée comme elle avait vu beaucoup de noirceur dans sa vie ?qui pourrait croire que derrière ses yeux bleu se caché une abysse de souvenirs terrible ?

« -je ne m’énerve pas…je pensais être seule…c’est tout. »

Elle le contempla…elle ne le connaissait pas visiblement…mais Elle était très observatrice et elle ne mis pas longtemps a comprendre que le garçon était autant ténébreux par son physique que par son caractère …du moins c’est ce qu’elle pensa.le jeune garçon plongea son regard dans les yeux de Lily avant de parler d’une voix tranchante.

« - la discrétion ce n’est pas ce qu’il y a de plus courant ici en se moment…moi je ne me cachais pas.j’assume parfaitement ne pas respecter le règlement…je trouve qu’il est tellement plus excitant de faire les choses sans se cacher…de toute façon les interdits sont tellement plus fort lorsque on saute a pied joint dessus…. »

Lily était comme ça…elle avait tellement vécu de choses que prendre des risques était devenu….passif.elle se fichait de tout, elle assumait tout ses actes, elle continuait juste a chercher ce qui lui enlèverai l’épine qui brûlait son âme….

« -…et je suis sure que tu seras d’avis avec moi…sinon, tu ne serai pas la.je me trompes ? »

Lily se montra douce…le ton amer qu’avait pris le jeune homme ne l’a touchait pas…elle était beaucoup plus du genre a observer qu’a réagir impulsivement.
Ce soir au milieu de cette foret avec un inconnu, elle se sentait comprise.Ils étaient la tout les deux, chacun avait une raison propre, chacun avait une histoire…mais tout deux avait au moins un point commun…ils étaient la…la nuit.
Comme les crépuscules quand le jour et la nuit fusionnaient…
Elle ressemblait au soleil ; elle était brûlante, imprévisible, sensuelle, dangereuse
Il ressemblait à la lune ; il était sombre, mystérieux ; ténébreux et beau.

« -la nuit est belle…j’ai toujours préférait la nuit au jour… »

» Escapade audacieuse [Pv Billi et Transy ]
» petite discussion[pv]
» Petite avarie
» Petite annonce
» Une petite promenade sympathique [ pv Hermina =D]