[center]C [b]a r t e d ' i d e n t i t é d u p e r s o n n a g e:
Nom:Phillis
Prénom:Andrew
Age:16 ans
Années:6 ème
Origine:Sang Pur
L e p e r s o n n a g e
Caractère (3 lignes pleines minimum):Très loyal et toujours présent quand on à besoin de lui Andrew et un très bon ami. Courageux, près a risquer sa vie pour ses amis, il va toujours au bout de ce qu’il a commencé. Loin d’être rancunier Andrew est toujours près a laisser une seconde chance à n'importe qui. Il ne faut toute foie pas abuser de sa gentillesse car il peut se montrer agressif quand il le faut. Toujours une touche d’humour même en cas de danger Andrew arrive toujours a détendre l’atmosphère.
Physique (3 lignes pleines minimum):Difficile de ne pas remarquer ce grand brun à l’allure ténébreuse, qui porte des vêtements sombres et les cheveux bruns mi-longs, naturellement légèrement ondulés… Ses yeux sont de même couleur, bien que légèrement ambrés quand le soleil est au beau fixe. Malgré ses origines anglaises et les préjugés que l’on porte sur cette nationalité, James arbore souvent un teint hâlé uniquement perturbé par une légère barbe finement taillée. Il lui arrive néanmoins de changer régulièrement, par choix ou bien à cause de l’influence des souvenirs et sentiments qu’il perçoit, telle une éponge… On retrouve diverses influences en lui, notamment dans sa façon de se vêtir. La classe anglaise des gentlemen a déteint sur lui, mais par touche bien choisis on peut noter des accessoires venus d’autres coutumes… Colliers afriquains, indiens ou des îles sont accrochés fièrement à son cou, souvenirs de lointains voyages… Chemise souvent noire ainsi que jean parfaitement taillés sont bien souvent favorisés, mais il n’hésite pas, je le précise encore une fois, à se métamorphoser radicalement. Trop de vies se répercutent en lui, déjà que la sienne suffisait amplement
Histoire (10 lignes pleines minimum!):La pleine lune éclairait faiblement Bolton, un quartier tranquille à la périphérie de Liverpool. Au 53, Stimpin Street, une petite famille singulière faisait une partie de bataille explosive. Marc Phillis était un sorcier dirigeant à lui tout seul une dizaine d’entreprises sorcières, et ces affaires étaient une réussite. Mais, en dépit de tout l’argent qu’il avait amassé, il avait préféré s’installer dans un quartier moldu, une ambiance beaucoup plus sereine que le Chemin de Traverse. Sa femme, Amelia Phillis, auror de profession, avait tout de suite acquiescé, préférant rester au calme après ses longues et épuisantes journées de travail. Marc et Amelia avaient un enfant répondant au nom d’Andrew Phillis. Il avait des yeux d’un vert intense et des cheveux sombres. Le petit garçon qui avait fêté ses sept ans une semaine auparavant, se montrait extrêmement précoce : il savait déjà parfaitement lire, et écrire, bien qu’il devait encore faire des progrès. Mais ce qui faisait la fierté de ses parents était son apparente facilité avec la magie. Elle s’était manifestée très tôt, à 1 an, un jour où sa mère le grondait, ses cheveux, d’habitude bruns, devinrent rose fushia ! Elle ne comprit les rires excités de son fils que lorsque son mari arriva et lui expliqua la situation après un long fou rire. Depuis il arrivait que le garçon se serve de la magie, avec plus ou moins de succès, quand il n’arrivait pas à faire les choses ‘’de façon moldu’’. Il était bien entendu au courant de sa condition de sorcier et était comme tout jeune sorcier anglais, impatient d’entrer à Poudlard.
Lorsque que 22 heures sonnèrent, Amelia demanda à son fils d’aller se coucher. Le garçon allait protester, mais quand il croisa le regard colérique de sa mère, il préféra ne pas faire d’histoire.
Il se dirigeait vers les escaliers, lorsque dans un éclair noir et bruyant, cinq bêtes galleuses apparurent, Merlin sait comment, dans le salon des Phillis. Les parents d’Andrew réagirent très vite, mais cela ne suffit pas. Amelia qui était plus près des Loups-garous, se fit très vite mettre au sol par un lycan qui ne perdit pas de temps pour la mordre jusqu’au sang. Marc avait réussi à assommer un loup-garou d’un sortilège, mais un deuxième lycan lui fit subir le même sort que sa femme.
Andrew assista à la scène avec effroi, adossé à un mur près des escaliers, incapable de bouger. Il se sentit faible, impuissant, apeuré… Mais lorsqu’il croisa le regard d’un des loups-garous, une colère immense le submergea, une rage incontrôlable. Le loup-garou chargea, tout en ouvrant sa gueule pour mordre l’enfant. Soudain la rage qui fulminait dans le corps d’Andrew atteint un seuil critique et, avant que le loup-garou n’atteigne sa cible, la rage s’était transformée en cinq sortilèges violets qui jaillirent du corps de l’enfant et frappèrent les cinq loups-garous. Ces derniers tombèrent au sol dans un même ensemble, morts ; terrassés par le sortilège.
Andrew ne savait pas comment il avait fait cela et il s’en foutait. Ses pensées étaient occupées par ses parents. Sa mère ne bougeait plus, mais son père tentait de faire un mouvement vers le reste de sa famille. Il parvint péniblement jusqu’à sa femme, mais cette dernière avait succomber à ses blessures : elle était morte. Andrew rejoint son père et comprit rapidement que sa mère n’était plus. Quand il regarda son père, il vit son visage maculé de sang et de morsures. Il avait l’air blanc et blafard de ceux qui n’allaient pas bien. Marc Phillis savait que ses blessures étaient trop grave pour qu’il s’en sorte. Mais tout ce qui lui importait, maintenant qu’Amelia était morte, c’était son fils…
Les mots ne réussissaient pas à sortir de sa bouche, comme s’il ne restait plus assez d’énergie dans le corps agonisant de Marc pour parler…
-"Sache… que ta mère et moi… nous t’aimons…"
Ses mots moururent dans un dernier souffle interminable, emportant avec lui la vie de Marc Phillis.
Andrew ne put retenir ses larmes. Il n’osait y croire, tout allait si bien il y a quelques instants, comment était-ce possible. Il ne savait pas quoi faire et ne trouva rien de mieux que de continuer à pleurer ses parents. Il n’arrivait pas à accepter la dure réalité…
Trop occupé par les corps encore chauds de ses parents, il n’entendit ni ne vit la forme noire se faufiler dans la maison et venir observer la scène d’un regard gris glacial :
-"Quel spectacle touchant !" ironisa la forme, d’une voix profonde et terrifiante
Andrew, surprit et apeuré, se retournant rapidement, aussi vif qu’un éclair. Face à lui se tenait un homme tout de noir vêtu, et dont la capuche ne laissa entrevoir qu’un sourire cruel et sadique : il semblait prendre plaisir à la mort des Phillis et à la tristesse d’Andrew….
-"Qui êtes-vous ?" demanda Andrew d’une voix mal contrôlée
-"Tu n’as pas besoin de la savoir. Mon plan n’a pas marché comme prévu mais peu importe, je te tuerai moi-même…"
L’homme leva sa main droite qui tenait une longue baguette magique. Sa bouche sembla vouloir former un mot mais n’eut jamais le temps de le finir : un éclair orange fusa depuis l’entrée vers l’homme et le projeta quelques mètre plus loin.
Quelques secondes plus tard, trois hommes portant de longues capes bleues grises entrèrent dans le salon. Leurs visages étaient aussi cachés sous leurs capuches. L’un d’eux se positionna devant Andrew, baguette brandie, prêt à défendre l’enfant impuissant. Les deux autres se tenaient face à l’homme en noir, prêt à en découdre…
Ce dernier semblait énervé par l’arriver des trois étrangers. Sa voix devint colérique et plus effrayante encore :
-"Tu as de la chance cette fois-ci, mais je jure que je te tuerai de ma main Andrew Phillis."
Il fit un signe de baguette, une grande lumière les aveugla, et quand ils retrouvèrent la vue, l’homme avait disparu, laissant derrière lui trois hommes décontenancés et un enfant effrayé et perdu…
D’un même mouvement, les trois hommes abaissèrent leur capuche, dévoilant des visages d’origine asiatique. L’un d’eux, la trentaine, les cheveux noirs coupés si courts qu’il en était presque chauve, s’approcha d’Andrew :
-"Tu ne risques plus rien pour le moment. Je m’appelle Albus Dumbledore . Je suis un ami de ton père" dit-il d’une voix calme
Andrew était intrigué par ses dires, mais il était trop fatigué, trop assailli par les émotions pour bien comprendre ce qu’il se passait. Il regarda à nouveau le corps de ses parents, sans vie. D’un coup, un malaise monta en lui, ses forces l’abandonnèrent : il s’évanouit !
Aime:Le Quidditch
Déteste:Les Mangemort
Secret?Il est Champion à Guitar Hero un jeux Moldu lol
Orientation sexuelle:Hétéro
V o u s
Prénom:Nabil
Age:17 ans
Comment avez-vous connu le forum :Par Top 100 RPG
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