School Poudlard
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-45%
Le deal à ne pas rater :
Four encastrable Hisense BI64213EPB à 299,99€ ( ODR 50€)
299.99 € 549.99 €
Voir le deal

 

 } Devon Sebastien Riley

Aller en bas 
AuteurMessage
Devon S. Riley
Serpentard
Devon S. Riley


Nombre de messages : 831
Age : 31
Phrase favorite : « The Whole Wide World is Mine »
Date d'inscription : 03/08/2008

Feuille de personnage
Age: 16 ans
Groupe: Elève
Relations:

} Devon Sebastien Riley Empty
MessageSujet: } Devon Sebastien Riley   } Devon Sebastien Riley Icon_minitimeMer 7 Jan - 17:15

    } Devon Sebastien Riley Img-142717mya8y


Devon Sebastien Riley


27 novembre 1981 à Los Angeles ;
6ème année à Serpentard.

      « And The Whole Wide World Is Mine »


    Prénoms : Devon. Un prénom qui laisse sa marque dans l’air ambiant à chacune de ses prononciations. Douces et mielleuses, les sonorités du mot ont su apporter le bien être à la mère qui nomma son enfant. Reflétant avec souplesse le calme et la simplicité, le nom suscite la personne. Ici, choisit à merveille, Devon aborde fièrement la chose qui le distingue de tout autre être humain.
    Sebastien. Second prénom. Plus un hommage que simple identité. Le père y inscrit à sa manière ici l’image qu’il voit de son enfant. Tiré d'un musicien, jeune artiste défunt de la famille. Telle la flamme s’éteint et les cendres qui restent. Devon porte sur son dos l’avenir d’un artiste, son aventure face à la vie.

    Caractère : Comparez-le à un loup. Solitaire, mystérieux. Deux mots qui font tout de lui. Aspirant à la bonne humeur, le calme, la passion et l’énigme, il n’aime se dévoiler aux autres. Peut-être pour cela que tellement peu de gens parviennent à cerner ledit animal. Aussi sauvage que le chasseur de minuit, aussi souriant que l’enfant face à une sucrerie. Devon n’est qu’un homme. Humain à deux facettes totalement opposées. L’une étant aimée, l’autre étant inconnue. « Le clown de Serpentard ». Surnom qu’il aborde sans confusion puisque se l’étant lui-même approprié. Après, comment être certain d’avoir à faire à cet homme ? Simple réponse : il étreint tout être, il embrasse toutes joues, il rit à chaque mot. Bref, un garçon agréable. Violent peut-être s’il n’apprécie pas. Image que lui colle toute personne normalement sensée. Mais prenez garde ! Là n’est que le complot du vil loup. Il se cache, attire chaque proche dans une feinte dont lui seul connait la sortie et le but. Ses proies ? Tous. Eux, lui, elle. Une poignée de personnes n’ont aperçu qu’une infime part de sa réelle existence. Une fille, un garçon, une petite sœur aussi. Le reste n’a que peu d’importance à ses yeux. Tout reposant ensuite sur des détails, des choses qu’il aime. Comme l’art dans lequel il s’évade, l’esprit du garçon est bien vaste. Complexe, à ne plus en douter. D’une patience à faire craquer plus d’un, d’une neutralité à faire tomber plus d’une, Devon reste simple contemplateur de la vie derrière un masque de mensonge et le rôle d’un être qui n’est pas lui. En somme, faut-il peut-être citer les grandes lignes d’un caractère tel que le sien ? Soit.

    Le Clown de Serpentard. Reconnu par ses compères pour courir après les filles et l’alcool, Devon n’a du château qu’une image d’un pur adolescent comme les autres. Joueur, souriant, affectif et aimant. Il enchaîne les conquêtes entres les bonnes notes, il accumule les amis et les rumeurs. Bref. Qui ne rêve d’avoir une telle vie ? Le parfait petit Serpentard. A jouer des mauvais tours à quiconque oserait passer sur son chemin, Devon insiste au respect malgré son jeune âge. Apprécié de beaucoup, il se forge cette description enfantine qui le qualifie depuis son entrée à Poudlard. Qui pourrait s’en vanter ? Chouchou de ces professeurs haïs, le jeune homme n’en reste pas moins un intelligent petit garçon. De là à dire de lui qu’il est sérieux… Peut-être pas. Ou tout du moins, pas en apparence. Eh oui, les apparences. Qui sait se qu’il peut s’y cacher au dessous ? Mais je vous laisse le loisir d’allez venir cueillir ces informations quelques lignes plus bas. Revenons-en au fait : Devon est donc l’une des vermines des verts et argents la plus appréciée du château. Charme moral et physique, qui n’a jamais posé son intention sur ce clown hyperactif ?

    Mais là ne sont décrites que quelques grandes lignes d’un personnage qu’il interprète. Voyons l’acteur présentement. L’homme beaucoup plus intriguant et incompris que l’est son rôle. Mystères, énigmes, questions se posent sur son sujet. Les rares personnes ayant parvenu à entrevoir un bout de cette dite chose se sont vus refermer la porte d’un trésor. Devon n’a jamais véritablement pu se dévoiler à quelqu’un. Pourquoi ? Il l’ignore lui-même. La peur peut-être. Quoi qu’il en soit, le garçon, intérieurement, est l’opposé de ce qu’il présente au grand jour. Calme et doux, tendre et solitaire, le petit enfant reste vulnérable et fragile. A quoi bon tenter de venir l’étreindre ? Il rejette tout signe d’affection. Seul lui peut en solliciter, rien d’autre. A trop contempler les déesses de minuit il a fini par partir avec elles.

    Physique : Un visage. Doux, tendre, affectueux presque. Poser un regard sur un physique sans défaut. Deux perles, bleues et vertes, brillantes. Réconfort, sérénité, douceur, chaque sentiment rappelant une tendresse angélique au travers d’un simple coup d’œil. Aspirant à la courtoisie, le venin d’un regard tel que celui n’est pas sans conséquence. Charmeur, vulgaire et attirant. Mêlant deux opposés étroitement liés, Devon possède une arme : la pluie enflammée de ses yeux qui se déverse sur tout passant qu’ils croiseront. Les traits de son visages, fins discrets mais appréciés insistent sur son caractère posé. Quelques mèches de cheveux châtains tombantes, des reflets or sur la coupe mi-longue, et un sourire attendrissant tout être. Un petit ange en apparence. Mais seulement en apparence. Les signes cachés trompent ces quelques lectures. L’anneau qu’il porte à la lèvre inférieur, reconnaissance d’un manque d’attention pour l’entourage, signe de précision et amant des détails. Un tatouage aussi. Partant de son épaule pour finir sur son avant bras. Représentatif de scène de sa vie, de son caractère masqué aussi. Quiconque saura lire entre les couleurs découvrira l’homme qui le porte. Un enfant qui joue avec le feu. Une silhouette mince, fine et doucement musclé, Devon est le parfait invisible caché des rues. Discret mais remarqué, il abuse d’un physique fier pour affiner sa souplesse dans l’art de la drague et autre passe-temps faux. Maître des arts, il expose sans crainte les détails de sa vie. Des bijoux aux oreilles, des piercings au labret, des marques au bras et sur le torse, bref, petit Rockeur, il ne néglige pas son physique. Vêtu de marques – la sienne pour ne pas la citer – le jeune Riley n’hésite pas à mettre en avant sa richesse tout en la gardant secrète. Des vestes hors de pris, des chaussures non soldées, des Jeans aux prix élevés, bref, voyez les semblants du petit bourge. Il se cache derrière cette image. Seul, le petit enfant gardera un charme naturel. Bermuda, Tee-Shirt, et voilà qui suffit à faire de lui le petit garçon de son enfance. Aujourd’hui, le jour, entouré, il garde sur lui le masque qu’il s’est juré de porter : mauvais garçon bourré d’argent qui dépense ici et là en récoltant au passage boissons et demoiselles. Un Dom Juan le jour, un petit enfant la nuit.
Revenir en haut Aller en bas
http://nutty-bear.skyrock.com
Devon S. Riley
Serpentard
Devon S. Riley


Nombre de messages : 831
Age : 31
Phrase favorite : « The Whole Wide World is Mine »
Date d'inscription : 03/08/2008

Feuille de personnage
Age: 16 ans
Groupe: Elève
Relations:

} Devon Sebastien Riley Empty
MessageSujet: Re: } Devon Sebastien Riley   } Devon Sebastien Riley Icon_minitimeMer 7 Jan - 17:22

} Devon Sebastien Riley Img-142808kza06


        Son Histoire :


      27 novembre 1981,

    Il naquît. Son crissement strident émerveillait les rues blanches de Los Angeles. Les parents, eux, souriaient à l'enfant. Une main protectrice posée sur le front du bébé, la mère murmurait un prénom à l'oreille de son protéger. Le père embrassa son garçon, il souffla le second prénom. Devon Sebastien Riley tenait du bout de ses petits doigts la main géante de ses géniteurs. Calme enfant, bel enfant, le petit loup vulnérable pouvait dormir sans nulle crainte, sans nulle peur. Juste celle de ne plus sentir la chaleur maternelle contre lui. C'était beau. C'était tellement beau. Mais comme tout enfant, la prise de conscience du monde vient en grandissant. Sa phobie. Sa vie. Près du nouveau né, son jumeau d’aîné. Chuck Anthony Riley. Les deux garçons hurlaient à leur existence nouvelle, l’enlaçant de leurs petits doigts frêles, remerciant le ciel. Deux petits anges naquirent. A leur oreille, leur mère murmurait un air, une musique secrète. Des paroles qui, assemblées, forment une muraille d’envie et de désir. Les derniers mots, elle ne les souffla qu’au plus jeune des jumeaux.

      « Let’s forget this all, move on sweetie boy. »


    Près d’elle, le père regardait, souriant, la famille formée. Elle était heureuse et belle. Unie et unique. « Etait », oui. Le futur aura raison d’une vie, des leurs.

      24 décembre 1986,


    La veille de Noël. Au dehors, il neigeait. Les flocons tombaient, se posant délicatement sur des trottoirs, sur les toits, sur les Hommes. Les chiens dormaient, les enfants attendaient avec impatience l’homme de la soirée, et Devon marchait. Dans ses bras, une forme, tremblant doucement, emmitouflée dans une couverture chaude et épaisse. Le grand frère frissonnait doucement, laissant parfois s’échapper d’entre ses lèvres quelques nuages de buées, traduisant le froid glacial du soir. Les sillons tracés par des larmes silencieuses se glaçaient sur ses joues rosées. Masqué dans l’ombre des froides rues de Los Angeles, il courrait presque. Peinant à retenir ses pleurs, s’obligeant à continuer son chemin sans se retourner. Mais il n’y parvint, faible petit être qu’il était.

    Une lumière guida ses pas. Il resta immobile, posant son regard bleu et vert sur les rayons envoyés par ce lampadaire. Devon se laissa tomber, épuisé. Il s’agenouilla, serrant dans ses bras le jeune enfant. Harlow. Minuit sonnait au loin, Sebastien sourit doucement à sa petite sœur de 3 ans.

      « Bon anniversaire. »


    La petite ouvrit les yeux, regarda son aîné, et puis se rendormi. Le garçon fit de même, tombant de fatigue, il s’allongea sur le sol froid, entourant de ses bras la seule famille qu’il lui restait. Juste une petite sœur.


      27 novembre 1996,


    Cher journal,

    Aujourd’hui, je fête mes 16 ans. Je ne gagne jamais qu’un jour de plus sur le compteur de mon existence, un jour de moins sur celui de ma vie. Rien de follement extraordinaire ce matin, cette après-midi. Une journée de cours, à une fois encore mentir à toutes ces personnes qui m’entourent. Je me lasse de mes actes. A quoi bon jouer, à quoi bon se cacher, je n’veux plus porter se masque. Si seulement mon chemin n’avait pas croisé le sien. Aujourd’hui, je n’serais sans doute pas là, ici, installé au dehors, sous un parc enneigé, à écrire. Ecrire et me confier puisque je n’veux parler. Ma sœur ne me donne plus de ses nouvelles, c’est à peine si elle s’est souvenu du jour de ma naissance. Mais peu importe, si elle est bien, là où elle se trouve, alors qu’elle ne pense pas à moi, mais qu’elle me laisse. Oui, cela fais plusieurs années que je n’ai guère ouvert ce carnet pourtant, là, maintenant, je retourne en enfance, tout cela, sans avoir changé. Ou tout du moins, sans plus changer.

    Père et mère me manquent. Chuck, aussi. J’entends encore maman me chuchoter mon avenir, cette phrase que je ne puis oublier. Gravée, dans ma mémoire, dans mon cœur, sur mon bras droit, par ce tatouage en son honneur. Je peine à un jour pouvoir sourire sereinement en pensant à eux trois. Harlow semble elle, le vivre bien mieux que moi. Que n’aurais-je pas donné pour pouvoir oublier, moi aussi. Depuis une semaine bientôt, chaque soir, je guette les déesses de minuit. Elles qui veillent sur moi, elles que j’aime. Ma rencontre avec cette jeune fille m’aura rappelé des souvenirs que je niais depuis trop longtemps. Aujourd’hui, je peux l’affirmer : Chuck avait toute sa raison. Jamais père n’aurait dû le placer dans ce centre. Mon jumeau, mon frère. J’ignore encore aujourd’hui ce qu’il est devenu, où habite-t-il, comment se porte-t-il. J’ignore même son nom, son prénom. Sans doute ne reverrais-je jamais le visage de celui qui me ressemble tellement. Mais je garde espoir, cet espoir qui depuis si longtemps me maintient vivant.

    Dès lors, je me tiens à cœur une promesse : recommencer. Un parcours difficile puisque me montrer restera une phobie, au fond. Mais je veux savoir. La revoir, lui demander de m’aider peut-être. J’ignore tout simplement pourquoi, face à son regard, je n’ose pas me cacher. Tout ce don je suis certain étant que cette jeune femme, qui qu’elle soit, sera parvenu en un simple mot à me rendre une âme que je pensais avoir égarée.

    Peut-être reprendrais-je goût à l’écriture, à la confidence. Je l’ignore. Mais je le saurais, d’ici peu.

      To be continued...

Revenir en haut Aller en bas
http://nutty-bear.skyrock.com
 
} Devon Sebastien Riley
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Devon S. Riley
» Avec Mon Ex ( Sebastien Tavel )
» Au pas de course. [Devon]
» Devon's Relationships
» Harlow Riley

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
School Poudlard :: Le début :: Les présentations personnages :: Histoire perso-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser